Briefing du Synode – Jour 5 : Accepter la douleur des personnes souffrant de la guerre afin de se dévouer à la Sainte Vierge Marie.

Briefing du Synode – Jour 5 : Accepter la douleur des personnes souffrant de la guerre afin de se dévouer à la Sainte Vierge Marie.

Le point de presse du cinquième jour de l’Assemblée générale du Synode révèle que les participants ont marqué la Journée de prière et de jeûne pour la paix par un moment spécial dédié au premier anniversaire de l’attaque brutale du Hamas contre Israël et de l’escalade qui a suivi, et a souligné le rôle des femmes dans l’Église et s’est concentré sur la construction de ponts.

Par Tiziana Campisi et Giampaolo Mattei

Les séances du Synode de lundi matin, avec 351 participants, « ont été précédées d’une prière et d’un moment de participation sincère aux souffrances des peuples du Moyen-Orient dues à la guerre, un jour, le 7 octobre, dramatiquement symbolique ».

Paolo Ruffini, préfet du Dicastère pour la Communication, l’a annoncé lors d’un point de presse destiné aux journalistes. Il a également noté que le pape François avait envoyé une lettre aux catholiques du Moyen-Orient « en ce triste jour ».

En outre, le Dr Ruffini a partagé que le cardinal Grech a rappelé aux participants du Synode que lundi était « un jour de prière et de jeûne », à la demande du Pape, après le Rosaire pour la Paix de dimanche soir à la Basilique Sainte-Marie-Majeure.

Le Dr Ruffini a rapporté que le cardinal Konrad Krajewski, aumônier pontifical, a annoncé une campagne de collecte de fonds commençant dans l’après-midi. Il apportera spécifiquement un soutien à la seule paroisse catholique de Gaza et à son curé, le Père. Gabriel Romanelli, « que le Pape appelle chaque jour pour exprimer sa proximité avec ceux qui souffrent ».

Neuf des 21 nouveaux cardinaux annoncés dimanche par le pape participeront à cette initiative. Il s’agit de : Luis Gerardo Cabrera Herrera, Tarcisio Isao Kikuchi, Pablo Virgilio Siongco David, Ladislav Nemet, Jaime Spengler, Ignace Bessi Dogbo, Dominique Mathieu, Roberto Repole et Timothy Peter Joseph Radcliffe.

Les travaux de l’Assemblée synodale

La quatrième Congrégation générale est prévue mardi, a annoncé Sheila Pires, secrétaire de la Commission d’information.

« L’assemblée envisage d’élire les membres du comité de rédaction du Document final, conformément à l’article 13 du règlement intérieur. Les rapports des tables linguistiques seront ensuite présentés », a-t-elle déclaré.

Suivant le modèle déjà adopté la première semaine, les membres du Synode voteront sur l’ordre du jour des discussions, et la journée se poursuivra avec des discussions ouvertes.

Mme Pires a indiqué que les deux premiers forums de théologie pastorale sont prévus mercredi après-midi sur les thèmes : « Le peuple de Dieu, sujet de la mission » et « Le rôle et l’autorité de l’évêque dans une Église synodale ».

Le voyage synodal en Asie

L’Église doit construire des ponts et être elle-même un pont. Cela signifie qu’il faut prêter attention aux diverses cultures et religions, en cultivant le dialogue et la synodalité.

Le cardinal Oswald Gracias, archevêque de Bombay, a exprimé cette affirmation. Il est membre du conseil ordinaire du Secrétariat du Synode, du Conseil des cardinaux et du groupe de travail que le pape François a créé au début de son pontificat pour aider à gouverner l’Église.

Lors du briefing de lundi, le Cardinal a souligné que progresser dans la synodalité nécessite l’interculturalité. Il a ajouté que depuis le Concile Vatican II, l’acceptation et le respect d’autrui sont des concepts largement établis.

Le cardinal Gracias a utilisé l’exemple du voyage synodal en Asie, où une assemblée en 2022 a abordé des sujets actuellement discutés au Synode, soulignant la nécessité de renouveler les pratiques pastorales.

Deux points clés étaient de travailler et de marcher ensemble. Le Cardinal a expliqué qu’il est essentiel de construire le Royaume de Dieu dans des pays aux cultures locales diverses – mais sans faire de prosélytisme – les différences doivent être valorisées. Une approche synodale est nécessaire pour éviter d’imposer des notions ou des concepts.

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Le Cardinal Gracias à l’occasion de la Journée de prière pour la paix

Favoriser la fraternité

En Asie, les rencontres se sont poursuivies jusqu’en 2023, date à laquelle deux cents évêques se sont réunis pour discuter du respect des religions, des mouvements laïcs et de la consécration baptismale de chaque individu.

Le cardinal Gracias a insisté sur le fait que la collaboration est cruciale pour les relations avec les autres confessions, affirmant que l’Église « ne peut plus les appeler d’autres religions, mais des religions voisines ».

Les évêques d’Asie ont également reconnu l’importance du monde numérique et considèrent le Synode comme une continuation de leur travail. « Je suis sûr que les choses s’amélioreront », a poursuivi le Cardinal, « et qu’il y aura plus de fraternité et d’amour pour l’Église ».

Une famille

Au cours de la réunion d’information, Mgr Gintaras Grušas, président du Conseil des conférences épiscopales européennes et archevêque de Vilnius, a souligné la manière dont la journée de prière et de jeûne pour la paix mondiale a été soulignée lors de l’assemblée synodale de lundi matin.

Il a expliqué que la solidarité avec ceux qui souffrent des effets de la guerre – comme au Moyen-Orient et en Ukraine – favorise l’expérience selon laquelle « nous sommes tous une seule famille qui prie pour la paix et l’unité ».

L’archevêque a souligné la nécessité de renforcer les liens entre les Églises en disant : « le dialogue est notre mission ».

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L’archevêque Grušas appelle à la prière pour la paix

Une écoute de plus en plus attentive

L’écoute réciproque est une compétence qui grandit au Synode, a observé Sœur Mary Teresa Barron, présidente de l’Union internationale des Supérieures générales (UISG).

Elle estime que la capacité à s’écouter les uns les autres s’est également améliorée, permettant ainsi un plus grand discernement des croyances des autres. L’écoute rapproche les gens de ceux qui sont exclus et marginalisés.

Pour sa part, l’UISG, en tant qu’initiative synodale, a créé un bureau dédié à la synodalité, avec un groupe interculturel axé sur la priorité à l’écoute et aux relations pour en construire de meilleures. L’objectif est avant tout d’aider ceux qui se trouvent dans les périphéries, a précisé Sœur Barron, en se concentrant particulièrement sur la manière de poursuivre le chemin synodal en Syrie, au Liban, en Russie, en Ukraine, au Vietnam, au Myanmar et en Indonésie.

On lui a demandé quelle place les femmes peuvent avoir dans l’Église aujourd’hui et elle a répondu : « Il existe de nombreuses possibilités et opportunités de leadership, mais elles doivent être explorées et évaluées. »

Elle a déclaré que la pratique diffère car, dans certains pays, il peut y avoir des femmes dirigeantes dans l’Église et dans d’autres non, mais l’accent n’est pas mis sur le ministère ordonné. Et s’il est vrai qu’il y a des femmes qui se sentent appelées au sacerdoce, ce domaine touche à des thèmes plus larges comme l’appel de l’Esprit Saint aux ministères, qui n’est pas le thème de ce Synode.

Cependant, le cardinal Gracias a souligné que les femmes sont au centre de l’attention dans l’Église, rapportant que lors des trois derniers conseils cardinaux, le rôle des femmes dans l’Église a été discuté d’un point de vue théologique et pastoral.

Concernant les ministères, les charismes et les vocations, Mgr Grušas a souligné que les rôles des laïcs et des familles peuvent s’exprimer différemment selon les lieux et que, par conséquent, les rôles des hommes et des femmes doivent être valorisés de manière appropriée.

Des questions ont ensuite été soulevées au sujet du groupe d’étude concernant la nomination des évêques, et le cardinal Gracias a précisé qu’il existe deux groupes axés sur le rôle de l’évêque, l’un sur le rôle lui-même et l’autre sur le processus de nomination.

« La figure de l’évêque est fondamentale pour l’Église, et sa nomination doit être effectuée de la meilleure manière possible », a affirmé le Cardinal, précisant que les deux groupes ont commencé à collaborer dans ce domaine vital et important pour l’Église.

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Briefing synodal – 7 octobre 2024

La Signification de la Prière à Marie

L’invocation à Marie constitue un élément crucial de la spiritualité chrétienne, profondément ancrée dans les enseignements catholique depuis des siècles. C’est un roc sur lequel les fidèles s’appuient pour trouver réconfort, direction et intercession dans leur marche avec Dieu. Au fil du temps, cette piété a été renforcée par les enseignements de la Bible, les traditions de l’Église, ainsi que les exemples des saints qui ont témoigné de leur respect à Marie en tant que bienveillante.

L’exercice du Rosaire

Le Chapelet tient une position centrale au sein de la spiritualité de nombreux croyants. En récitant les mystères joyeux, douloureux, lumineux et glorieux, les dévots se plongent dans les moments liés à Jésus et Marie, renforçant ainsi leur lien spirituel avec le divin. À travers chaque Ave Maria, ils expriment leur confiance en l’intercession de Marie et leur désir de suivre les enseignements du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son livre sur la vraie dévotion à la Sainte Vierge, invite les fidèles à pratiquer régulièrement la méditation sur les mystères du rosaire pour approfondir leur relation avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, héritée de génération en génération, demeure une source d’illumination spirituelle pour ceux qui ont la foi, les guidant dans leur connexion à la céleste Dame.

L’incitation à la prière

Unissons-nous dans la prière, frères et sœurs, dans notre foi, en Marie, la mère de Jésus. Au sein de notre monde tourmenté par les conflits et la discorde, optons à la prière pour trouver de trouver la paix et l’harmonie. Vous aussi vous pouvez envoyer une demande pour la Sainte Vierge en sollicitant les bénévoles. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme un hommage agréable par Dieu, afin qu’il guide éclairer nos chemins sur la voie de la justice et de la vérité. L’apôtre Paul nous dans ses lettres à maintenir une prière incessante, quelle que soit la situation, afin que notre communion avec Dieu soit solide et passionnée. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a le pouvoir pour changer les cœurs et d’influer le cours de l’histoire.

Les leçons du Pape François

Le Saint-Père, dans ses enseignements éclairés, publiés par Bayard, nous rappelle la signification de la prière quotidienne. Par le biais de ses homélies et de ses audiences publiques, il nous encourage à cultiver un lien personnel avec Dieu, en se fondant sur la méditation de la Parole biblique et la pratique du Rosaire. Sa manière d’être d’humilité et de compassion nous motive à approfondir davantage nos prières et à rechercher la présence de Dieu dans tous les domaines de notre existence. Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous rappelle que la pratique de la prière constitue le fondement de la vie spirituelle et par elle que nous nous unissons à la volonté divine. La prière quotidienne, transmise par les pontifes successifs, est une bouée d’espoir dans les tempêtes, un roc solide sur lequel nous pouvons compter.

Les ouvrages écrits par Lelièvre et Hubert

Dans le contexte de la vie de foi, l’église recommande vivement la prière, et lors de les moments de prière, les croyants effectuent le geste du signe de la croix tout en récitant l’Ave Maria. Des théologiens modernes, comme Lelièvre et Hubert, nous convient également à réfléchir sur la puissance de la prière, à travers leurs écrits inspirants. Leurs publications, riches en enseignements spirituels, nous orientent dans notre parcours de la foi et nous invitent à puiser dans les richesses de la tradition chrétienne pour enrichir notre spiritualité. En réfléchissant sur leurs ouvrages, nous explorons de nouvelles voies de développer notre relation avec Dieu et de progresser dans la sainteté. L’apôtre Jean, dans son évangile, nous rappelle que le fait de prier est une puissante voie pour rester en communion avec Dieu et de recevoir ses bénédictions. Chaque paragraphe de leurs ouvrages résonne comme un appel à une prière ardente et à une existence emplie de la présence divine. Dans notre recherche de connexion spirituelle, chaque lecture devient un appel à aspirer à le divin, à travers la réflexion et la méditation.

La pratique de la prière

Dans nos chapelles modestes ou majestueuses, tournons-nous vers Dieu avec confiance et humilité, sachant qu’il écoute nos supplications avec amour et sollicitude. Que chaque flamme vacillante, chaque chapelet récité, soit une offrande à notre divin Créateur ainsi qu’à la Vierge Marie. Que nos moments de prière dans la chapelle soient des moments de faveur divine et de renouvellement de notre esprit, nous renforçant pour faire face à les challenges avec audace et foi inébranlable. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous montre l’importance de la prière dans l’existence des catholiques et l’efficacité de l’intercession de la Sainte Vierge. Chaque personne qui entre dans une chapelle, chaque page de la Bible lue dans ce lieu sacré, est une rencontre avec le divin, une étape importante sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les pages des Saintes Écritures, tout croyant est encouragé à méditer la croix du Christ, à réfléchir à son sacrifice, et à trouver réconfort et espoir dans sa grâce rédemptrice.

L’acte de prier comme remède pour l’intérieur

Tel un médecin pour nos âmes, l’acte de prier nous guérit ainsi que nous fortifie dans les moments de douleur et de désespoir. Elle nous fait souvenir que la présence divine ne nous quitte jamais, même dans les moments les plus sombres de notre existence. En nous tournant vers lui à travers la prière, nous découvrons la force intérieure dont nous avons besoin pour traverser les épreuves et pour affronter l’avenir avec espérance et confiance. La prière est comme une fontaine d’eau vive qui étanche notre soif spirituelle et, dans notre marche avec Dieu, nous régénère.
À chaque prière prononcée, à chaque intention confiée, nous trouvons un réconfort céleste, une guérison spirituelle, qui dépasse les limites de la condition humaine. Chaque passage des Écritures nous invite à échanger avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à recevoir sa grâce transformante.

Un regard différent sur l’acte de prier Marie

L’invocation de Marie est une pratique solidement ancrée dans la tradition catholique chrétienne, fournissant un lien spirituel précieux pour les fidèles du monde entier. En tant que mère spirituelle aimante et intercesseur dévoué, Marie est invoquée avec dévotion dans les moments de détresse et de gratitude. Le chapelet, avec ses mystères méditatifs, dirige les fidèles dans leur parcours religieux, les encourageant à méditer sur Jésus, son fils, à travers les yeux de la Vierge Marie. Cette dévotion mariale se reflète dans les lieux saints tel que le sanctuaire de Lourdes, où les pèlerins affluent à la recherche de consolation et de guérison, illustrant le lien profond entre la foi catholique et la dévotion mariale. Les écrits éclairants de théologiens comme Lelièvre et Hubert offrent une réflexion précieuse sur la valeur de la prière à Marie et son influence sur la vie spirituelle des fidèles. À travers la lecture attentive de livres dévotionnels et bibliques, les croyants élargissent leur compréhension de la vénération de Marie et cultivent une relation plus profonde avec Marie, notre mère dans la foi. Dans un monde caractérisé par les conflits et les troubles, la prière à Marie constitue un refuge de paix et d’espoir, incitant chaque individu, quel que soit son statut dans la foi catholique-chrétienne, à solliciter la Vierge Marie avec confiance et ferveur. Prions donc en commun, avec un cœur humble et sincère, en saluant Marie comme notre mère et notre intercesseur, en lui confiant nos vœux et nos aspirations les plus profondes. Dans cette quête spirituelle, chaque fidèle est appelé à suivre la voie des prières et des désirs du cœur, sous la conduite du Pape et les ressources spirituelles précieuses fournies par des plateformes comme Aleteia. Ainsi, avec une humble confiance et un cœur ouvert, saluons Marie dans notre prière quotidienne, lui demandant de nous intercéder, et la force de continuer dans la prière fervente.
Que notre communion avec le divin devienne notre sanctuaire et notre apaisement dans toutes les circonstances. Que nous nous inclinions envers Marie, notre mère divine, avec un cœur ouvert et une croyance inébranlable, convaincus qu’elle plaide en notre faveur devant son fils bien-aimé. Que la prière soit notre guide sur le chemin de la sainteté, nous conduisant toujours plus près de Dieu et de son amour sans limites.

Bibliographie :

Raz de Sein/01.,Cliquer ICI.. Suite sur le prochain article.

Livre de prières, 1852/Prières tirées de l’office des vêpres.,Le texte de l’article.. Suite sur le prochain article.

Les Fous littéraires/E.,A lire ici.

Le Satanisme et la magie/Préface.,Cliquer ICI.. Suite sur le prochain article.

La Légende dorée/Saint Hippolyte.,Le texte de l’article.

Description de Notre-Dame, cathédrale de Paris/Porte de la Vierge.,Ici.. Suite sur le prochain article.

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