L’équipe d’aumônerie olympique est un espace accueillant où « rencontrer les gens tels qu’ils sont », a déclaré l’un de ses 120 aumôniers sportifs, le révérend Ben Harding.
L’équipe multiconfessionnelle d’aumôniers, basée au village olympique, offre un soutien pastoral aux athlètes, entraîneurs, personnels et supporters des Jeux olympiques de Paris, qui se terminent dimanche. Les Jeux paralympiques débutent le 28 août. L’aumônerie a été créée pour la première fois pour les Jeux de Séoul en 1988. Le groupe d’aumôniers de cette année est le plus important à se réunir depuis lors.
M. Harding, qui est anglican et aumônier de l’église Trinity de Lyon, a décrit le centre multiconfessionnel comme « un lieu d’écoute, un lieu de culte, un lieu de divertissement, un lieu d’accueil et un lieu de ressources », et a déclaré que son ministère était « une opportunité de parler à des gens qui les verront comme des personnes – simplement de les rencontrer tels qu’ils sont en tant que personnes ».
C’était également l’occasion pour les athlètes de « rencontrer, d’apprendre et, espérons-le, d’encourager les chrétiens qui sont confrontés à la persécution chez eux », ainsi que de poser des questions, notamment sur la manière dont le sport de compétition et la foi peuvent fonctionner ensemble.
« Sous la pression des attentes internationales envers les concurrents et les athlètes, il y a parfois ce moment où les gens s’arrêtent et réfléchissent à ce qui est important et réévaluent un peu leur vie. »
Cette année, de nombreux athlètes olympiques ont exprimé plus ouvertement la manière dont leur foi a soutenu leur parcours jusqu’aux Jeux. C’est le cas du nageur britannique Adam Peaty, qui, après avoir perdu son titre olympique au 100 m brasse pour 0,02 seconde, a déclaré à la BBC : « Je suis un homme très religieux. J’ai demandé à Dieu de me montrer mon cœur, et c’est mon cœur. Je n’aurais pas pu faire plus. »
Simon Poole, de Christians in Sport, aide les athlètes d’élite à surmonter les hauts et les bas du sport de haut niveau. Il est également l’un des dirigeants d’une église évangélique indépendante, Town Church Bicester.
« Participer aux Jeux olympiques, c’est comme assister à dix enterrements pour un mariage. Dans le sport de haut niveau, la victoire de chacun se fait au prix de la défaite de beaucoup d’autres. »
L’association ne collecte pas de données sur le nombre de chrétiens participant aux Jeux, et l’identité de ceux avec qui elle travaille est confidentielle – mais ce petit groupe d’athlètes s’est agrandi au cours des derniers cycles olympiques.
« Pendant les Jeux olympiques, nous avons le privilège de soutenir un certain nombre d’athlètes d’élite qui concourent au plus haut niveau », a déclaré M. Poole. « La réalité est que gagner sur cette scène peut être tout aussi déstabilisant que perdre. Car même l’euphorie d’une médaille d’or olympique s’estompe trop vite, tout comme la détermination à tout donner pour atteindre un objectif, et elle peut être remplacée par un vide et un manque de but dont de nombreux athlètes ont parlé. »
Ben HardingLe révérend Ben Harding au village olympique
Il a poursuivi : « Pour l’athlète chrétien, la perspective éternelle et la victoire durable offertes par Jésus transforment complètement le sport. C’est lorsqu’un athlète chrétien saisit son identité fondamentale qu’il peut répondre au succès comme à la déception avec une maturité remarquable et dire : « Gagner ou non l’or ne me définit pas. Au contraire, je peux remercier Dieu pour ce qu’il a fait pour moi et je peux le remercier de m’avoir appelé à concourir au mieux de mes capacités, sachant que le résultat ne me définit pas. »
« Ce n’est ni simple ni facile, mais grâce au sacrifice du Christ et à l’œuvre de Dieu dans les athlètes par son Esprit, il est possible de dire à la place de l’athlète chrétien, qu’il soit déçu ou ravi à juste titre. »
L’épiscopale américaine Molly Reckford et sa partenaire d’aviron Michelle Sechser ont terminé sixièmes de la finale du deux de couple poids légers femmes vendredi dernier. Les doubles championnes du monde en titre Emily Craig et Imogen Grant de Grande-Bretagne ont remporté l’or.
Mme Reckford, 31 ans, et ses frères et sœurs ont été baptisés à Christ Church, à Short Hills, dans le diocèse de Newark, qu’elle considère toujours comme son église d’origine. « La communauté de Christ Church à Short Hills est très proche de ma famille, et ils sont vraiment notre famille élargie à bien des égards », a-t-elle déclaré à l’Episcopal News Service le mois dernier. « Christ Church a toujours occupé une grande place dans ma vie. »
Son père, Sam Reckford, est le directeur financier du diocèse. Son grand-père, feu Bill Spencer, a également été deux fois olympien, participant au biathlon masculin aux Jeux d’hiver de 1964 et 1968.
Mme Reckford, qui n’a pas l’habitude de parler de foi dans le milieu professionnel, a déclaré que les Jeux olympiques offraient des opportunités spirituelles aux athlètes. « L’un de mes endroits préférés dans le village de Tokyo était ce magnifique monument qui était un arbre, sur lequel on pouvait écrire le nom d’un être cher décédé et l’attacher à l’arbre. » Elle a écrit le nom de son grand-père, décédé en 2020.
« Je pense que l’une des choses qui a tendance à être présente chez les épiscopaliens – et qui me tient particulièrement à cœur – est un lieu sûr, l’importance de permettre à chacun d’avoir sa propre religion et de pratiquer à sa manière. . . L’une des raisons pour lesquelles j’ai aimé cet espace dans le village de Tokyo, c’est qu’il semblait très sacré sans pour autant être exclusif. »
Dimanche matin, des représentants des confessions chrétienne, musulmane, juive, hindoue et bouddhiste se sont réunis devant Notre-Dame de Paris pour une cérémonie interconfessionnelle spéciale afin de célébrer la fraternité aux Jeux.
La cérémonie comprenait des prières, des lectures et des moments de silence. Les aumôniers du centre multiconfessionnel du village olympique ont parlé de la manière dont le sport pouvait « faire ressortir le meilleur de l’humanité » et servir les communautés.
L’évêque auxiliaire de Paris, Mgr Philippe Marsset, le président de la Fédération protestante de France, le pasteur Christian Krieger, et l’aumônier national orthodoxe des hôpitaux, le pasteur Anton Gelyasov, représentaient le culte chrétien. Ils étaient rejoints par le grand rabbin de France, Haïm Korsia, la présidente de l’Association des mosquées de Paris, Najat Benali, le coprésident de l’Union bouddhiste de France, Lama Jigmé Thrinlé Gyatso, et Shailesh Bhavsar, représentant la communauté hindoue.
L’évêque de Digne, Mgr Emmanuel Gobilliard, envoyé spécial du Saint-Siège aux Jeux olympiques de Paris, a déclaré à Vatican News : « Je pense que c’est la plus belle façon d’exprimer une prière commune ; cela permet de dire quelque chose d’important et de beau. »
Les fidèles sont invités à participer aux Olympiades du Rosaire. Le réseau chrétien Hosana a lancé une application pour encourager les utilisateurs à « concourir » à ce qu’il appelle les Olympiades du Rosaire, en parallèle des Jeux olympiques de Paris. L’application invite les utilisateurs à prier le rosaire avec « une intensité croissante » tout au long des Jeux, qui se terminent dimanche. L’objectif est de « canaliser le même dévouement dont font preuve les athlètes dans notre vie de prière, en honorant la Vierge Marie à chaque prière sincère ».
Le Rôle de la Dévotion Mariale
La prière à Marie représente un aspect essentiel de la spiritualité chrétienne, solidement enracinée dans la doctrine catholique depuis des temps immémoriaux. C’est un fondement sur lequel les croyants s’appuient pour trouver réconfort, direction et intervention dans leur relation envers Dieu. Au fil du temps, cette pratique de dévotion a gagné en force par les écrits bibliques, les traditions de l’Église, ainsi que le modèle des saints qui ont honoré Marie mère spirituelle bienveillante.
L’usage du Chapelet
Le Chapelet tient une position centrale dans la vie spirituelle de un grand nombre de fidèles. En récitant les différents mystères, les dévots se plongent dans les moments de la vie de Jésus et de Marie, renforçant ainsi leur connexion spirituelle avec eux. À travers chaque Ave Maria, ils manifestent leur confiance en l’intercession de Marie ainsi que leur aspiration à suivre les pas du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son ouvrage sur la dévotion authentique à la Vierge Marie, encourage les chrétiens à méditer régulièrement des différents mystères du rosaire afin de renforcer leur lien avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, héritée de génération en génération, demeure un phare spirituel pour ceux qui ont la foi, les guidant dans leur connexion à la divine Dame du Ciel.
L’exhortation à la prière
Unissons-nous dans la prière, frères et sœurs, dans notre foi, en nous tournant vers Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde troublé par la guerre et la division, optons à la prière comme un moyen de trouver la paix et la réconciliation. On peut faire déposer un message pour la mère de dieu par internet. Que nos supplications montent vers le ciel, comme un hommage agréable à Dieu, afin qu’il puisse nous guider nos pas sur le chemin de la justice et de la vérité. L’apôtre Paul nous dans ses épîtres à prier sans cesse, en toutes circonstances, pour que notre communion à Dieu soit solide et passionnée. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a le pouvoir de transformer nos cœurs et d’influer le cours de l’histoire.
L’enseignement du Souverain Pontife
Le Saint-Père, à travers ses écrits inspirés, publiés par Bayard, nous souligne l’importance de la prière quotidienne. À travers ses discours et ses audiences, il nous encourage à développer une relation personnelle avec le divin, en s’appuyant sur la réflexion sur les Saintes Écritures et la pratique du Rosaire. Sa conduite d’humilité et de compassion nous encourage à approfondir davantage notre prière et à chercher la présence de Dieu dans tous les aspects de notre existence. Le pape Jean-Paul II, dans son encyclique sur la foi chrétienne, nous rappelle que la prière quotidienne est le fondement de la vie de foi et que c’est par elle que nous trouvons notre unité au divin. La prière quotidienne, transmise par les pontifes successifs, est un phare d’espoir dans les tempêtes, un fondement solide auquel les âmes peuvent s’appuyer.
Les écrits attribués à Lelièvre et Hubert
Dans le cadre de la spiritualité, l’église recommande vivement le recours à la prière, et lors de les moments de prière, les croyants accomplissent le geste du signe de la croix et récitent le Je vous salue Marie. Des intellectuels contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous convient également à méditer sur la puissance de la prière, à travers leurs écrits inspirants. Leurs publications, abondant en enseignements spirituels, nous guident sur le chemin de la foi et nous encouragent à trouver dans les richesses de la tradition chrétienne pour nourrir notre spiritualité. En réfléchissant sur leurs publications, nous découvrons de nouvelles voies d’approfondir notre relation avec Dieu et de grandir dans notre cheminement vers la sainteté. L’apôtre Jean, dans son évangile, nous rappelle que la prière est un puissant moyen pour rester en communion avec Dieu et de recevoir ses bénédictions. Chaque passage de leurs ouvrages est semblable à une invitation à une prière fervente et à une vie imprégnée de la présence divine. Dans notre recherche de spiritualité, chaque œuvre lue devient une invitation à aspirer à le divin, à travers la contemplation et la réflexion.
La pratique de la prière
Dans nos chapelles modestes ou majestueuses, tournons-nous vers le divin avec confiance et humilité, sachant qu’il écoute nos supplications avec amour et sollicitude. Que chaque bougie allumée, chaque chapelet récité, soit une offrande à notre Seigneur et à sa sainte mère, Marie. Que nos instants de dévotion dans la chapelle soient des moments de bénédiction et de renouvellement spirituel, nous renforçant pour affronter les challenges avec audace et foi inébranlable. La sainte Bernadette Soubirous, qui a reçu les apparitions de la Vierge Marie à Lourdes, nous montre la valeur de la prière dans l’existence des catholiques et l’efficacité de l’intercession de la Vierge Marie. Tout fidèle qui franchit les portes d’une chapelle, chaque verset des Écritures lu dans ce lieu saint, est une rencontre avec le divin, une étape importante sur le chemin de la transformation intérieure. À travers les textes sacrés, tout disciple est invité à contempler la croix du Christ, à réfléchir à son sacrifice, et à trouver réconfort et espoir dans la grâce salvatrice qu’elle offre.
L’acte de prier comme médecine pour l’âme
Tel un thérapeute pour notre être intérieur, la prière nous réconforte et nous renforce lorsque nous traversons des moments de douleur et de désespoir. Elle nous rappelle que la présence divine ne nous quitte jamais, même dans les moments les plus sombres de notre existence. En nous tournant vers lui à travers la prière, nous trouvons la force intérieure dont nous avons besoin pour traverser les épreuves et pour faire face à l’avenir avec espoir et confiance. La prière est semblable à une fontaine d’eau vive qui étanche notre soif spirituelle et qui, dans notre marche avec Dieu, nous revigore.
À chaque prière prononcée, à chaque intention confiée, nous trouvons un soulagement divin, une guérison spirituelle, qui transcende les limites de notre condition terrestre. Chaque verset de la Bible est une invitation à communier avec Dieu, à lui remettre nos fardeaux, et à bénéficier de sa grâce régénératrice.
Un regard différent sur l’invocation à Marie
L’invocation de Marie est une pratique étroitement enracinée dans le patrimoine catholique chrétienne, proposant un précieux lien spirituel pour les fidèles du monde entier. En tant que mère spirituelle et intercesseur, elle est priée avec ardeur lors des instants de nécessité et de reconnaissance. Le chapelet, avec ses mystères contemplatifs, guide les catholiques dans leur cheminement spirituel, les encourageant à méditer sur Jésus, son fils, à travers les yeux de la Vierge Marie. Cette affection envers Marie se reflète dans les sites sacrés comme Lourdes, où les fidèles convergent pour rechercher réconfort et guérison, représentant la forte connexion entre la foi catholique et la dévotion mariale. Les enseignements éclairants de théologiens comme Lelièvre et Hubert proposent une réflexion précieuse sur l’importance de la prière à Marie et son influence sur la vie spirituelle des fidèles. À travers la lecture attentive de livres dévotionnels et bibliques, les fidèles élargissent leur compréhension de la vénération de Marie et nourrissent une relation plus profonde avec Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde marqué par les conflits et les hostilités, l’invocation de Marie est un sanctuaire de calme et de confiance, incitant chaque individu, quelle que soit sa position dans la foi catholique, à s’adresser à la Vierge Marie avec confiance et ferveur. Unissons donc nos prières, avec un cœur sincère et humble, en saluant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos prières et nos désirs les plus profonds. Dans cette quête spirituelle, chaque croyant est invité à suivre la liste des prières et des intentions du cœur, sous la conduite du Pape et les précieuses ressources spirituelles fournies par des plateformes comme Aleteia. Ainsi, avec une humble confiance et un cœur ouvert, saluons Marie dans notre prière quotidienne, lui demandant son intercession affectueuse, ainsi que la grâce de persévérer dans la prière ardente.
Que notre communion avec le divin soit notre refuge et notre consolation dans toutes les circonstances. Que nous nous inclinions vers Marie, notre mère céleste, avec un cœur ouvert et une foi inébranlable, sachant qu’elle intercède pour nous auprès de son fils bien-aimé. Que notre dialogue avec le divin soit notre guide vers la voie de la sainteté, nous rapprochant toujours plus de Dieu et de son amour éternel.
Parutions:
Souvenirs de la Basse Cornouaille/Livraison 1/La Croix de Pennéarc’h.,Cliquer ICI.
Les Quatre Évangiles (Crampon 1864)/Table des Evangiles.,Cliquer ICI.
Les Noces chymiques de Christian Rosenkreutz/Jour 4.,Article complet.
Larmes d’amour/Chapitre III.,A lire ici.. Suite sur le prochain article.
La Guerre des dieux, poème en dix chants (éd. 1808).,Le dossier.
.,Le dossier.. Suite sur le prochain article.
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