Niché entre l’Interstate 494 et l’église de l’Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie se trouve un petit et ancien cimetière paroissial. Et en ce lundi matin pluvieux, comme c’est la tradition le jour du Memorial Day, une cloche a sonné.
Au moment où Carl Rudolph, un vétéran de l’ère vietnamienne, a terminé sa tâche, la cloche, scintillante d’eau de pluie, avait sonné 86 fois – une pour chaque vétéran militaire américain enterré dans le cimetière.
Partout au Minnesota, les gens se sont rassemblés dans les cimetières pour honorer et se souvenir de ceux qui ont servi dans les guerres américaines. À Richfield, les participants se sont rassemblés sous un ciel gris.
Betsy Sullivan et sa mère, Mary, étaient assises au premier rang, sous une tente rouge. Ils viennent chaque année. Le mari de Mary, Bill, qui a servi dans la Garde nationale, est enterré près de la statue de la Vierge Marie.
« Parce que nous étions le peuple saint », dit Mary avec un sourire narquois.
Aux États-Unis, le Memorial Day a suscité une ambiance sombre, alors que la nation, toujours divisée par la politique partisane et la prochaine élection présidentielle, respirait le souvenir des hommes et des femmes qui ont servi dans l’armée américaine, des guerres en Europe au Moyen-Orient, de la guerre civile en Asie du Sud-Est.
Même si le Memorial Day, anciennement connu sous le nom de Decoration Day, constitue le début officieux de l’été, il reste pour beaucoup un jour de retraite sacrée.
Une foule portant des parapluies s’est rassemblée au cimetière national de Fort Snelling, où le gouverneur Tim Walz a fait remarquer que la pluie semblait appropriée pour cette sombre occasion. Environ 258 000 anciens combattants et les membres de leurs familles sont enterrés dans environ 190 000 tombes. Les bénévoles placent un drapeau sur chaque tombe dans les jours précédant le Memorial Day.
« Vous avez tous fait un choix, un choix de passer vos vacances avec nous pour honorer et nous souvenir de nos anciens combattants », a déclaré Andrew Motzko, directeur adjoint du cimetière de 436 acres.
Le programme du Memorial Day de cette année comprenait la conférencière principale Lisa Anderson, contrôleur adjoint de la Defense POW/MIA Accounting Agency (DPAA). Le natif de Buffalo, dans le Minnesota, est en poste à Pearl Harbor et s’efforce de récupérer et d’identifier les restes des militaires disparus – parfois des décennies après qu’ils aient fait le sacrifice ultime.
Anderson a déclaré qu’une équipe de 25 membres se trouvait en Normandie, en France, à la recherche de trois aviateurs portés disparus dont l’avion C-47A aurait été abattu par des tirs antiaériens allemands le jour J. Près de 81 000 militaires américains depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu’à nos jours sont portés disparus, a-t-elle déclaré.
L’une de leurs identifications les plus récentes est celle du soldat Robert W. Cash, diplômé de la Washburn High School et ancien étudiant de l’Université du Minnesota. Il s’est enrôlé dans l’armée de l’air américaine à Fort Snelling le 8 mai 1941. Cash a été capturé après la capitulation américaine de la péninsule de Bataan en 1942 et a été forcé de participer à la marche de la mort de Bataan, longue de 65 milles.
Le camp fut libéré au début de 1945, mais Cash fut enterré dans une fosse commune avec d’autres prisonniers américains. Alors que les efforts d’identification ont commencé en 1947, les restes de Cash n’ont été envoyés au laboratoire d’Anderson à Hawaï qu’en 2019. En avril dernier, Cash a finalement été identifié.
« Alors que nous envisageons l’année à venir, je reste convaincu que, d’ici le prochain Memorial Day, nous assisterons à une réduction du nombre de pierres tombales « inconnues » et à une augmentation du nombre de familles trouvant les réponses qu’elles recherchent. méritent à juste titre », a déclaré Anderson.
À Richfield, une cérémonie intime et plus calme s’est déroulée. Le cimetière paroissial rappelle l’époque où les champs de maïs et les bottes de foin peuplaient Richfield. L’église située dans la banlieue du premier périphérique des Twin Cities se trouve juste à l’est d’un magasin Best Buy. Une coopérative de crédit et un complexe d’appartements dominent le cimetière paroissial.
Joe Novak, qui fait du bénévolat auprès des Chevaliers de Colomb, organise l’événement annuel. Novak n’a pas servi dans l’armée, mais a fait la connaissance d’anciens combattants en les aidant à assister à la messe en fauteuil roulant dans un foyer pour anciens combattants. Grâce à ses recherches, il ne cesse d’allonger la liste des anciens combattants du cimetière, créée par un couple paroissial.
La cérémonie s’est ouverte par une invocation et une troupe de Boy Scouts présentant les couleurs. Puis Novak lut les noms pendant que Rudolph sonnait.
«Benajamin E. Haeg».
« Ferdinand M. Bunger. »
« Bernard F. Fritz. »
Quatre-vingt-six noms pour le petit cimetière. Quatre-vingt-six familles et leurs histoires. Une fois tous les noms lus, un boy-scout joua du trombone.
Le cimetière remonte à la fondation de la paroisse par des immigrants allemands dans les années 1870. Dans un coin éloigné, des pierres tombales tachetées, arrondies par les années, portent des noms d’enfants avec un agneau et une croix.
« Joséphine Biott, du 6 mai 1880 au 9 septembre 1881. »
« Cela vous donne vraiment une idée de la difficulté des temps », a déclaré Betsy Sullivan, qui est maintenant la directrice musicale de la paroisse.
Le cimetière est une fenêtre sur le passé. Lundi, des drapeaux américains parsemaient également la base de pierres tombales grises. Un certain nombre de défunts portent le nom du conflit militaire dans lequel ils ont servi.
« La Seconde Guerre mondiale. »
« Corée. »
Novak estime que les vétérans de la guerre hispano-américaine, peut-être même de la guerre civile, sont enterrés dans le petit cimetière.
Après la cérémonie, les participants ont dégusté des biscuits et siroté un café dans l’entrée de l’église.
Dick DeGonda a rappelé que ses frères, originaires de Le Centre, au Minnesota, ont tous deux servi pendant la Seconde Guerre mondiale. Par pur hasard, les frères se sont croisés sur une île du Pacifique.
« Cela a fait le journal du Centre », a déclaré Mary, l’épouse de Dick.
De l’autre côté de la pièce, deux sœurs et une cousine parlent du séjour de leur père en France libérée.
Susan Poquette Keenan a déclaré que son père marchait sous la Tour Eiffel.
« Une seule fois, nous l’avons vu pleurer », a déclaré Keenan, décrivant le moment où leur père a vu un militaire américain mort agripper le volant d’un char américain.
À leur retour aux États-Unis, de nombreux anciens combattants ont acheté des maisons à Richfield et dans d’autres banlieues grâce à la facture des GI. Le boom de l’après-guerre allait bientôt engloutir les terres agricoles de la région.
Mais pas l’église. Et pas le cimetière où est enterré le père de Keenan.
Ainsi, pour un autre Memorial Day, alors que la pluie tombait, des familles sous des parapluies et portant des fleurs se promenaient dans les allées herbeuses du petit cimetière, sous le bourdonnement de la circulation interétatique.
La Signification de la Dévotion Mariale
La prière à Marie constitue un aspect essentiel de la foi chrétienne, solidement enracinée dans les enseignements catholiques depuis des temps immémoriaux. C’est un fondement sur lequel les fidèles s’reposent pour obtenir réconfort, guidance et intervention dans leur marche avec Dieu. À travers les âges, cette piété a gagné en force par les enseignements de la Bible, les traditions de l’Église, ainsi que les exemples des saints qui ont témoigné de leur respect à Marie mère spirituelle aimante.
La pratique du Ave Maria
Cette prière traditionnelle mariale tient une position centrale dans la vie spirituelle de un grand nombre de fidèles. En récitant les différents mystères, les fidèles se plongent dans les événements de la vie de Jésus et de Marie, renforçant ainsi leur lien spirituel avec le divin. À travers chaque Ave Maria, ils expriment leur foi en l’intercession de Marie ainsi que leur aspiration à suivre les pas du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son ouvrage sur la dévotion authentique à la Vierge Marie, invite les fidèles à pratiquer régulièrement la méditation sur les mystères du rosaire pour approfondir leur lien avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, héritée de génération en génération, reste une source d’illumination spirituelle pour ceux qui ont la foi, les aidant à se connecter avec la divine Dame du Ciel.
L’encouragement à prier
Unissons-nous dans la prière, frères et sœurs, dans l’unité de notre foi, en Marie, la mère de Jésus. Dans notre monde troublé par les conflits et la discorde, recourons à la prière comme un moyen de trouver la sérénité et la réconciliation. Vous aussi vous pouvez écrire une intention de prière pour la mère de dieu sur la page de prière pour marie. Que nos supplications s’élèvent vers le ciel, comme une offrande reçu avec faveur à Dieu, pour qu’il puisse éclairer nos chemins sur le chemin de la justice et de la vérité. Saint Paul nous exhorte dans ses épîtres à maintenir une prière incessante, en toutes circonstances, afin que notre communion à Dieu soit solide et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède la capacité de changer nos cœurs et de modifier le cours de l’histoire.
Les directives du Pape François
Le Saint-Père, dans ses écrits éclairés, publiés par Bayard, nous rappelle la signification de la prière journalière. À travers ses homélies et ses audiences générales, il nous encourage à cultiver une connexion personnelle avec Dieu, en s’appuyant sur la réflexion sur les Saintes Écritures et la pratique du Rosaire. Sa conduite d’humilité et de compassion nous encourage à approfondir encore nos prières et à chercher la présence de Dieu dans tous les aspects de notre existence. Le pape Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous souligne que la pratique de la prière est la base de la vie de foi et que c’est par elle que nous nous unissons à la volonté divine. La prière, transmise par les pontifes de génération en génération, est une bouée d’espoir dans les tempêtes, une base solide auquel nous pouvons nous appuyer.
Les écrits attribués à Lelièvre et Hubert
Dans le contexte de la vie de foi, l’église préconise la prière, et lors de la prière, les fidèles effectuent le signe de croix et récitent l’Ave Maria. Des penseurs contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous convient également à réfléchir sur la force de la prière, dans leurs ouvrages inspirants. Leurs écrits, porteurs de riches enseignements spirituels, nous orientent dans notre parcours de la foi et nous encouragent à trouver dans les richesses de la tradition chrétienne pour nourrir notre vie spirituelle. Par la méditation sur leurs ouvrages, nous découvrons de nouvelles manières de développer notre relation avec Dieu et de grandir dans notre cheminement vers la sainteté. Saint Jean, dans son évangile, nous rappelle que le fait de prier est un puissant moyen de demeurer en communion avec Dieu et de bénéficier ses bénédictions. Chaque passage de leurs écrits résonne comme un appel à une prière ardente et à une vie imprégnée de la présence divine. Dans notre quête de connexion spirituelle, chaque œuvre lue devient un appel à aspirer à le sacré, par le biais de la contemplation et la réflexion.
La pratique de la prière
Dans nos lieux de culte modestes ou majestueuses, orientons-nous vers le divin avec confiance et humilité, car nous savons qu’il écoute nos prières avec amour et sollicitude. Que chaque bougie allumée, chaque chapelet récité, constitue une offrande à notre divin Créateur et à sa sainte mère, Marie. Que nos moments de prière dans la chapelle soient des moments de bénédiction et de renouvellement spirituel, nous renforçant pour affronter les défis avec audace et foi inébranlable. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous enseigne la valeur de la prière dans l’existence des catholiques et l’efficacité de l’intercession de la Sainte Vierge. Tout fidèle qui franchit les portes d’une chapelle, chaque verset des Écritures lu dans ce lieu saint, constitue une rencontre avec la divinité, une étape importante dans le processus de transformation spirituelle. À travers les Écritures saintes, chaque fidèle est invité à contempler la croix du Christ, à méditer sur son sacrifice, et à trouver réconfort et espoir dans la grâce salvatrice qu’elle offre.
La pratique de la prière comme remède pour l’intérieur
Tel un thérapeute pour notre être intérieur, la prière nous réconforte et nous renforce dans les moments de douleur et de désespoir. Elle nous rappelle que la présence divine ne nous quitte jamais, même au cœur de nos heures les plus sombres. En nous tournant vers lui dans la prière, nous découvrons la force intérieure nécessaire pour surmonter les épreuves et pour faire face à l’avenir avec espérance et confiance. L’acte de prier est semblable à une fontaine d’eau vive qui étanche notre soif spirituelle et, sur notre chemin de foi, nous régénère.
À chaque prière murmurée, à chaque intention confiée, nous trouvons une paix divine, une guérison spirituelle, qui dépasse les limitations humaines. Chaque passage des Écritures est une invitation à dialoguer avec Dieu, à lui confier nos fardeaux, et à bénéficier de sa grâce régénératrice.
Un point de vue alternatif sur l’acte de prier Marie
La dévotion à Marie est une pratique profondément enracinée dans le patrimoine catholique chrétienne, fournissant un lien spirituel précieux pour les adeptes de tous horizons. En tant que mère spirituelle aimante et intermédiaire, elle est priée avec dévotion lors des instants de nécessité et de gratitude. Le rosaire, avec ses mystères à méditer, dirige les fidèles dans leur parcours religieux, les aidant à contempler Jésus, son fils, à travers les yeux de la Vierge Marie. Cette dévotion à Marie se manifeste dans les lieux saints comme le sanctuaire de Lourdes, où les pèlerins affluent en quête de réconfort et de guérison, symbolisant la profonde connexion entre la foi catholique et l’adoration de Marie. Les enseignements éclairants d’éminents théologiens comme Lelièvre et Hubert offrent une réflexion précieuse sur l’importance de la prière à Marie et son rôle dans la vie spirituelle des croyants. Grâce à une lecture attentive de livres dévotionnels et bibliques, les fidèles élargissent leur compréhension de la dévotion mariale et développent une connexion plus étroite avec Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde marqué par les conflits et les troubles, l’invocation de Marie offre un refuge de calme et de confiance, incitant chaque individu, indépendamment de son rang dans la foi catholique, à solliciter la Vierge Marie avec une foi profonde et une dévotion sincère. Unissons donc nos prières, avec un cœur sincère et humble, en honorant Marie comme notre mère et notre intercesseur, et en lui confiant nos prières et nos désirs les plus profonds. Dans cette démarche vers Dieu, chaque fidèle est appelé à suivre la voie des prières et des désirs du cœur, guidé par le saint Père et les ressources spirituelles précieuses disponibles sur des plateformes comme Aleteia. Par conséquent, avec un cœur ouvert et une humble confiance, saluons Marie dans notre prière quotidienne, lui demandant de nous intercéder, et la grâce de persévérer dans la prière fervente.
Que notre communion avec le divin soit notre refuge et notre consolation en toute circonstance. Que nous nous inclinions envers Marie, notre mère divine, avec une foi inébranlable et un cœur ouvert, convaincus qu’elle plaide en notre faveur devant son fils bien-aimé. Que la prière nous guide dans notre quête de sainteté, nous conduisant toujours plus près de Dieu et de son amour éternel.
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