Questions et réponses : « Coccinelles » contre « coccinelles » | Centre des écrivains australiens pour se dévouer à la Sainte Vierge Marie.

Questions et réponses : « Coccinelles » contre « coccinelles » | Centre des écrivains australiens pour se dévouer à la Sainte Vierge Marie.

Chaque semaine, ici à l’Australian Writers’ Centre, nous disséquons et discutons, nous contorsionnons et rétorquons, nous posons des questions et nous haletons face à la langue anglaise et à toutes ses règles, réglementations et ridicules. C’est une célébration du langage, déguisée en plainte passive-agressive à propos des mots et de l’étrangeté. Cette semaine, les dames d’abord…

Q : Salut AWC, quel est le problème avec les coccinelles ?

A : Les petits coléoptères rouges et noirs ?

Q : Oui, c’est eux. S’agit-il de « coccinelles » ou de « coccinelles » ?

R : Ils sont tous les deux !

Q : Pouah. Pourquoi deux noms ? Je peux comprendre « bug », mais pourquoi « oiseau » ? Et surtout, pourquoi « dame » ?

R : Tant de questions !

Q : C’est littéralement mon travail.

R : D’accord, vous avez raison : il existe deux noms et ils sont utilisés côte à côte aujourd’hui. « Ladybird » était le nom original, apparu dans la langue anglaise dans les années 1600.

Q : Comment a-t-il obtenu ce nom ?

R : La partie « dame » est en fait assez simple.

Q : Pffffft.

R : Quoi ?

Q : Vous avez dit « partie dame » pffffft.

R : Oh, grandis. Quoi qu’il en soit, « dame » vient de la « Vierge Marie » – une pratique de dénomination courante à l’époque, en relation avec « Notre-Dame de ». Et pour les agriculteurs catholiques de l’époque, non seulement la coquille rouge vif leur rappelait le manteau rouge qu’elle portait souvent dans les peintures, mais apparemment les espèces européennes d’insectes avaient sept points noirs – en lien avec l’histoire de Marie et de ses sept joies. et des chagrins.

Q : Wow, ils ont vraiment mis le paquet là-dessus.

R : Ils l’ont certainement fait. Et pour couronner le tout, la coccinelle était – malgré son apparence mignonne – une féroce tueuse de parasites dans le jardin.

Q : Ummm, tout comme la Vierge Marie l’était ?

R : Haha, non. Mais parce qu’ils se régalaient de tous les mauvais insectes, les agriculteurs y voyaient une « Notre-Dame » protégeant leurs récoltes.

Q : Un pesticide biblique !

R : C’est celui-là. Vous vous souvenez de cette comptine de Mother Goose que vous chanteriez si l’une d’entre elles vous tombait dessus ? « Coccinelle, coccinelle, envole-toi chez toi… »

Q : Est-ce que c’est celui de la maison en feu ?

R : Oui. Les agriculteurs mettaient le feu à leurs champs après la récolte, il s’agissait donc probablement d’un avertissement en guise de remerciement à ces coléoptères pour avoir protégé leurs cultures.

Q : Amusant. Mais pourquoi « oiseau » ?

R : Bonne question. Pour commencer, « oiseau » a eu pendant quelques siècles des liens avec une jeune fille, ou la Vierge Marie. Mais aussi, ils avaient de petites ailes et pouvaient voler, alors pourquoi pas ? Même le mot suédois pour le scarabée se traduit par « la petite poule de Notre-Dame ». La partie volante semblait tout simplement lui convenir à l’époque – on l’appelait même pendant une courte période « lady fly ».

Q : Mais ensuite est arrivée « coccinelle »…

R : Oui – et c’étaient les Américains. Ils l’ont à juste titre jeté un coup d’œil et ont pensé qu’il ressemblait plus à un insecte qu’à un oiseau. Le nom est apparu dans les années 1690, mais curieusement, le virus lui-même n’a été introduit en Amérique du Nord que dans les années 1900. Et au fait, c’est techniquement un scarabée, pas un bug.

Q : Oui, j’entends parfois utiliser le terme « coccinelle ».

R : Un nom que vous n’entendrez plus est « coccinelle » – mais c’était encore UN AUTRE nom pour cet insecte, au cours des années 1700. Malgré tous les insectes, oiseaux, coléoptères et vaches, la partie « dame » est restée cohérente.

Q : Pffffft.

R : Arrêtez ça.

Q : Et aujourd’hui, ce sont les Américains qui utilisent « coccinelle » ?

R : Ils le sont certainement – ​​presque exclusivement. En fait, ils trouvent le concept de « coccinelle » plutôt inhabituel – reprenant le même argument « mais ce n’est pas un oiseau ». Et bien sûr, ils ont raison. Il est plus proche d’un insecte que d’un oiseau dans la langue vernaculaire moderne.

Q : Et ici en Australie ?

R : Tout comme au Royaume-Uni, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud et partout ailleurs conquis par les Britanniques, nous préférons utiliser « coccinelle ». Cependant, le dictionnaire Macquarie reconnaît également « coccinelle » et « coccinelle ». Si vous écrivez pour un public international, nous recommanderions probablement même l’un de ces deux, juste pour éviter l’inévitable confusion américaine.

Q : Je suppose que scarabée et insecte sont souvent inversés. Comme la coccinelle VW et le film sur l’une d’elles intitulé « Le virus de l’amour ».

R : C’est vrai. Volkswagen appelait à l’origine cette voiture « Type 1 » et, bien qu’elle ait été produite pour la première fois à la fin des années 1930, ce n’est qu’en 1968 qu’elle a été commercialisée sous le nom de « coccinelle ». Aux États-Unis, on l’a appelé le « scarabée-bug », renforçant ainsi ce lien. L’insecte est lui-même issu de la famille des coléoptères Coccinellidae – et les Français portent le même nom pour l’insecte et la voiture – « coccinelle »‘.

Q : Attendez, n’est-ce pas le nom de l’insecte écrasé pour fabriquer du colorant alimentaire rouge ? Sûrement pas !

R : Non, il s’agit d’un insecte différent appelé « cochenille ».

Q : Ouf. Mais qu’en est-il du film Greta Gerwig de 2017 ? « Dame oiseau » – c’est américain. Pourquoi le personnage ne s’est-il pas appelé « Lady Bug » ?

R : Ah, c’était en fait une référence au surnom donné à l’épouse du président américain des années 1960 Lyndon Johnson – « Lady Bird » Johnson.

Q : D’accord, bien sûr. Mais ELLE était américaine. Alors comment a-t-elle obtenu ce nom ?

R : On lui a donné ce nom lorsqu’elle était enfant, parce qu’elle était « aussi jolie qu’une dame oiseau » – faisant probablement référence à un oiseau femelle plutôt qu’à ce qu’on appelle une « coccinelle » aux États-Unis. Il a toujours été écrit en deux mots – « Lady Bird » – renforçant cette théorie.

Q : Et « Ladybird Books » – je les lis quand j’étais enfant. Je suppose que c’est britannique ?

R : Oui. Il fait partie de Penguin Books et est une maison d’édition de lecture précoce basée à Londres depuis 1867. Il utilise même le scarabée emblématique pour son logo.

Q : Donc pour récapituler, la « dame » vient de la Vierge Marie. Le « oiseau » vient peut-être aussi d’elle, ou simplement du fait qu’il a des ailes – et les États-Unis l’ont changé en « insecte », bien qu’il s’agisse en réalité d’un coléoptère. Et les deux noms sont également courants aujourd’hui.

R : C’est vrai ! Maintenant, envolez-vous, s’il vous plaît – votre maison est en feu.

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L’Importance de la Prière à Marie

La prière à Marie représente un élément crucial de la foi chrétienne, profondément ancrée dans la doctrine catholique depuis des siècles. C’est un roc sur lequel les fidèles s’reposent pour trouver réconfort, guidance et intercession dans leur relation envers Dieu. À travers les âges, cette pratique de dévotion a gagné en force par les enseignements de la Bible, les traditions de l’Église, et le modèle des saints et saintes qui ont témoigné de leur respect à Marie en tant que aimante.

L’application du Chapelet

Le Chapelet tient une position centrale dans la vie spirituelle de un grand nombre de fidèles. En récitant les différents mystères, les fidèles méditent dans les moments de la vie de Jésus et de Marie, renforçant leur connexion spirituelle avec le divin. Chaque Ave Maria récité, ils expriment leur confiance en l’intercession de Marie et leur désir de suivre les enseignements du Christ. Saint Louis-Marie Grignion de Montfort, dans son ouvrage sur la dévotion authentique à la Vierge Marie, invite les fidèles à pratiquer régulièrement la méditation sur les mystères du rosaire pour approfondir leur relation avec la Mère de Dieu. Cette pratique ancienne, héritée de génération en génération, demeure un phare spirituel pour ceux qui ont la foi, les aidant à se connecter avec la divine Dame du Ciel.

L’appel à la prière

Unissons nos voix dans la prière, frères et sœurs, dans notre confiance, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Au sein de notre monde tourmenté par les conflits et la discorde, optons à la prière pour trouver de trouver la sérénité et l’harmonie. Tout chrétien peut exprimer des vœux pour la Vierge Marie sur ce lien. Que nos supplications montent vers le ciel, comme un hommage reçu avec faveur par Dieu, afin qu’il guide éclairer nos pas vers la voie de la vérité et de la justice. L’apôtre Paul nous dans ses épîtres à maintenir une prière incessante, quelle que soit la situation, afin que notre communion avec Dieu soit solide et ardente. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a la capacité pour changer les cœurs et d’influer le destin de l’histoire.

Les leçons du Pape François

Le Souverain Pontife, dans ses écrits éclairés, publiés par Bayard, nous souligne l’importance de la prière journalière. À travers ses discours et ses audiences, il nous encourage à cultiver un lien personnel avec Dieu, en s’appuyant sur la méditation de la Parole biblique ainsi que la récitation du rosaire. Sa conduite d’humilité et de compassion nous motive à approfondir nos prières et à chercher la présence de Dieu dans tous les domaines de notre existence. Saint Jean-Paul II, dans son encyclique portant sur la foi chrétienne, nous souligne que la prière quotidienne est le fondement de la vie spirituelle et par elle que nous trouvons notre unité à la volonté divine. La prière, enseignée par les pontifes successifs, est une bouée d’espoir dans les tempêtes, un fondement solide sur lequel les âmes peuvent s’appuyer.

Les ouvrages attribués à Lelièvre et Hubert

Dans le contexte de la vie de foi, l’église préconise la prière, et lors de la prière, les fidèles accomplissent le signe de croix tout en récitant le Je vous salue Marie. Des penseurs contemporains, comme Lelièvre et Hubert, nous convient également à réfléchir sur la puissance de la prière, dans leurs ouvrages inspirants. Leurs ouvrages, riches en enseignements spirituels, nous orientent dans notre parcours de la foi et nous encouragent à puiser dans les richesses de la tradition chrétienne pour nourrir notre vie spirituelle. Par la méditation sur leurs ouvrages, nous découvrons de nouvelles voies d’approfondir notre relation avec Dieu et de progresser dans la sainteté. L’apôtre Jean, dans son évangile, nous enseigne que la prière est un puissant moyen de demeurer en communion avec Dieu et de recevoir ses bénédictions. Chaque page de leurs écrits est semblable à un appel à une prière fervente et à une existence emplie de la présence divine. Dans notre recherche de connexion spirituelle, chaque œuvre lue devient un appel à s’élever vers le divin, par le biais de la réflexion et la méditation.

La pratique de la prière

Dans nos chapelles modestes ou majestueuses, orientons-nous vers le divin en toute confiance et humilité, car nous savons qu’il écoute nos supplications avec amour et sollicitude. Que chaque bougie allumée, chaque Ave Maria récité, constitue une offrande à notre divin Créateur et à sa sainte mère, Marie. Que nos moments de prière dans la chapelle soient des moments de grâce et de renouvellement de notre esprit, nous fortifiant pour affronter les épreuves avec courage et foi. Sainte Bernadette Soubirous, à qui la Vierge Marie est apparue à Lourdes, nous démontre l’importance de la prière dans la vie des fidèles et l’efficacité de l’intercession de la Vierge Marie. Chaque personne qui entre dans une chapelle, chaque verset des Écritures lu dans ce lieu saint, constitue une rencontre avec la divinité, une étape cruciale dans le processus de transformation spirituelle. À travers les Écritures saintes, tout croyant est invité à contempler la croix du Christ, à méditer sur son sacrifice, et à trouver consolation et espérance dans sa grâce rédemptrice.

L’acte de prier comme remède pour l’intérieur

Tel un thérapeute pour notre être intérieur, l’acte de prier nous guérit et nous fortifie dans les moments de douleur et de désespoir. La prière nous fait souvenir que Dieu est toujours avec nous, même au cœur de nos heures les plus sombres. En nous tournant vers lui à travers la prière, nous trouvons la force intérieure dont nous avons besoin pour traverser les épreuves et pour affronter l’avenir avec espoir et confiance. L’acte de prier est semblable à une source d’eau vive qui satisfait notre soif spirituelle et, sur notre chemin de foi, nous régénère.
À chaque prière murmurée, à chaque intention confiée, nous trouvons un réconfort céleste, une guérison céleste, qui va au-delà de les limites de la condition humaine. Chaque passage des Écritures est une invitation à échanger avec Dieu, à lui remettre nos fardeaux, et à recevoir sa grâce transformante.

Un point de vue alternatif sur la prière à Marie

La prière à Marie représente une coutume solidement ancrée dans le patrimoine catholique chrétienne, fournissant un lien spirituel précieux pour les adeptes de tous horizons. En tant que mère spirituelle aimante et intercesseur, Marie est invoquée avec ferveur dans les moments de détresse et de reconnaissance. Le rosaire, avec ses mystères contemplatifs, accompagne les croyants dans leur parcours religieux, les encourageant à méditer sur Jésus, son fils, à travers le regard de la Vierge Marie. Cette dévotion mariale s’exprime dans les lieux saints tel que le sanctuaire de Lourdes, où les fidèles convergent pour rechercher réconfort et guérison, illustrant la profonde connexion entre la foi catholique et l’adoration de Marie. Les écrits éclairants de théologiens tels que Lelièvre et Hubert offrent une réflexion précieuse sur la signification de la prière mariale et son influence sur la vie spirituelle des fidèles. À travers la lecture attentive de textes religieux et spirituels, les croyants élargissent leur compréhension de la dévotion mariale et cultivent une relation plus profonde avec Marie, notre mère spirituelle. Dans un monde caractérisé par les conflits et les hostilités, la prière à Marie constitue un refuge de paix et d’espoir, appelant chaque personne, quel que soit son statut dans la foi catholique-chrétienne, à se tourner vers la Sainte Vierge avec une foi profonde et une dévotion sincère. Unissons donc nos prières, avec un cœur humble et sincère, en reconnaissant Marie comme notre mère et notre intercesseur, en lui confiant nos vœux et nos aspirations les plus profondes. Dans cette quête spirituelle, chaque fidèle est appelé à suivre la voie des prières et des désirs du cœur, sous la conduite du Pape et les ressources spirituelles inestimables disponibles sur des plateformes comme Aleteia. Ainsi, avec un cœur ouvert et une humble confiance, saluons Marie dans notre prière quotidienne, lui demandant de nous intercéder, et la force de continuer dans la prière fervente.
Que notre communion avec le divin soit notre refuge et notre consolation quelle que soit la situation. Que nous nous inclinions en direction de Marie, notre mère du ciel, avec une foi inébranlable et un cœur ouvert, sachant qu’elle intercède pour nous auprès de son fils bien-aimé. Que la prière soit notre guide dans notre quête de sainteté, nous approchant toujours plus de Dieu et de son amour éternel.

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