On connaît les frictions au sein des Windsor, mais ça barde aussi chez les Orléans, notre famille royale française… Le prince Charles-Philippe, duc d’Anjou, 50 ans et divorcé, a mis le feu aux poudres en se remariant civilement en septembre avec Naomi-Valeska Kern, une roturière monégasque veuve du couturier allemand Otto Kern. Les noces se sont déroulées discrètement le 9 septembre dernier dans la mairie d’Orléans, avec quelques proches et amis, mais sans la présence du chef de la famille de France et sa famille.
Et pour cause : son cousin germain, Jean d’Orléans, 58 ans, comte de Paris et prétendant au trône de France, l’avait mis en garde : pas de nouveau mariage sans son consentement, comme il l’avait officiellement précisé par un communiqué avant les noces cet été. « Les mariages des princes de la Maison de France sont soumis à la double condition d’obtenir l’approbation du chef de la Maison Royale et d’être contractés dans les règles du droit canonique de l’Église catholique. » Deux conditions que le duc rebelle, fils du comte d’Évreux, a manifestement ignorées…
Le point de friction concerne le premier mariage de Charles-Philippe en 2008 avec Diana Alvares Pereira de Melos, duchesse de Cadaval, héritière d’une grande famille aristocratique du Portugal. Pour Jean de France, les règles de l’Église catholique prévalent, et « même si le premier mariage civil a été dissous, le mariage religieux reste valide et la filiation qui en découle » – le duc d’Anjou a eu une fille, Isabelle, de son premier mariage, dont le parrain n’est autre que le roi Felipe VI d’Espagne. Le chef de la Maison de France a donc précisé que la première épouse de son cousin conserverait son titre d’Altesse Royale et de duchesse d’Anjou, et sa fille resterait « SAR la princesse Isabelle d’Orléans ». En revanche, son cousin ne pourra plus se prévaloir du prédicat d’Altesse Royale, ainsi que sa nouvelle épouse…
Duc républicain
Des mesures que le duc d’Anjou n’a guère appréciées. « Je ne dois demander à personne l’autorisation de me marier, prétendre le contraire serait contre la loi », a-t-il répliqué cette semaine dans le magazine Point de Vue, signifiant ainsi sa rupture avec son cousin Jean. « Je suis né Altesse Royale, prince d’Orléans et petit-fils de France, poursuit-il. C’est dans mon sang. Je le resterai toute ma vie. Personne n’a légalement le pouvoir ou l’autorité pour me le retirer. La France est une république. »
Quant au titre de sa nouvelle épouse, il se fiche comme d’une guigne des décisions de son cousin. « Comme le veulent la Loi et la tradition capétienne, et comme le prouve l’histoire de notre famille, ma femme porte le même prédicat et les mêmes titres que moi. Elle est donc Son Altesse Royale la princesse Naomi-Valeska d’Orléans, duchesse d’Anjou. » Bref, la guerre ne fait que commencer…
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