Mariage entre catholiques et musulmans : pour une pastorale du discernement


1. Introduction

Ce thème sera traité en deux fiches d’aide pastorale. En premier lieu, il s’agit de donner aux prêtres, diacres et agents pastoraux laïcs des indications pour celles et ceux qui veulent conclure un mariage catholico-musulman. La première fiche pastorale permettra de se familiariser avec les éléments les plus importants du mariage musulman ; la deuxième fiche présentera les questions pratiques liées au mariage entre catholiques et musulmans et s’efforcera d’y donner des réponses.

De plus en plus de prêtres et d’agents pastoraux sont contactés pour une demande de mariage dont l’un des partenaires est musulman. Cette demande exige prudence, clarté et une conscience réaffirmée de l’identité chrétienne et de la vision catholique concernant le mariage et la famille. En raison notamment des conséquences qui en dérivent au plan religieux, culturel, social et au niveau du dialogue interreligieux, l’Église catholique romaine n’encourage pas ces mariages, selon une position partagée également par les musulmans eux-mêmes. Mais il s’agit tout d’abord d’un service pastoral à rendre aux personnes concernées. L’Église catholique romaine respecte le choix d’un couple pour un mariage catholico-musulman et désire l’aider dans le cadre d’une pastorale du discernement.

Si un(e) catholique veut que l’Église catholique romaine reconnaisse son mariage avec un partenaire musulman, l’intention de mariage doit être annoncée à la paroisse compétente (domicile du partenaire catholique) et le formulaire officiel doit être rempli (« Document de mariage »). En outre, un tel mariage doit aussi bénéficier de l’autorisation expresse (techniquement : « Dispense d’empêchement de disparité de culte », c. 1086 § 1 et 2) de l’Ordinaire du lieu (évêque, vicaire général). Cette autorisation ne sera accordée que si les conditions suivantes sont remplies (cf. Annexe aux documents de mariage pour les mariages de confessions différentes) : 1) Les fiancés reconnaissent en toute honnêteté et franchise les propriétés et éléments essentiels du mariage, qui sont indispensables à un mariage valide. Dans le cas d’un mariage entre catholique et musulman, il faut vérifier en particulier que le partenaire musulman est prêt à rester fidèle à un seul conjoint et à vouloir son bien, et que le partenaire catholique déclare son attachement à l’indissolubilité de son union. 2) Le partenaire catholique se déclare prêt à continuer de vivre en conformité avec sa foi catholique. 3) Il se déclare également prêt à s’efforcer, dans le cadre des circonstances données et dans la mesure du possible, de faire baptiser et éduquer dans la confession catholique les enfants issus du mariage. Il faut signaler qu’un tel mariage est reconnu comme valide par l’Église catholique romaine mais que le mariage lui-même (entre une personne baptisée et une autre non baptisée) n’a pas valeur sacramentelle.

La demande d’accord de l’Ordinaire devrait être introduite assez tôt, c’est-à-dire avant que les préparatifs concrets pour le mariage soient engagés ou, selon les cas, avant que soient fixées les dates. Il est en effet pastoralement malheureux qu’un refus d’autorisation doive être prononcé alors que tout est prêt pour le mariage. Pour mémoire : du point de vue musulman, le mariage entre une femme musulmane et un catholique n’est pas autorisé.

2. Le mariage dans la perspective musulmane

2.1. Le contrat

Le mariage dans la tradition musulmane est surtout un contrat devant témoins musulmans ainsi qu’un règlement de l’indemnité de divorce. L’échange d’une dot (bien que symbolique aujourd’hui) a toujours une importance pour la partie musulmane. Ce contrat est valide s’il est conclu devant une instance reconnue, un officier d’État civil ou un imam, selon les lois du pays. La 1re sourate (la Fatiha) du Coran ainsi que des prières sont récitées lors de la conclusion de ce contrat.

La tradition chrétienne a développé une conception plus théologique du mariage. L’islam quant à lui insiste davantage sur les droits et devoirs en termes moraux et juridiques. Deux versets du Coran sont souvent cités en relation avec le couple : « Allah a créé pour vous, tirées de vous, des épouses afin que vous reposiez auprès d’elles, et il a établi l’amour et la bonté entre vous » (Les Romains, sourate 30, v. 21). Et « Elles (vos épouses) sont un vêtement pour vous, vous êtes pour elles, un vêtement » (La Vache, sourate 2, v. 187). Certains imams en Suisse désirent compléter la signature devant l’État civil par un contrat de mariage islamique pour valider le mariage selon la foi musulmane. Certains reconnaissent le mariage civil, d’autres requièrent, en plus de l’État civil, une récitation coranique et la fixation de la dot pour valider ce contrat.

2.2. Modalités importantes

La polygamie est permise en islam jusqu’à quatre épouses. Le Code civil suisse ne la permet pas, la tradition catholique non plus. Il est important d’engager le partenaire musulman à une promesse écrite en faveur de la monogamie. Dans la conception islamique du mariage, le mari a la responsabilité de l’ensemble du foyer. « Les hommes ont autorité sur les femmes, en vertu de la préférence qu’Allah leur a accordée sur elles, à cause des dépenses qu’ils font pour assurer leur entretien » (Les Femmes, sourate 4, v. 34). Cette autorité mal interprétée par le mari peut dégénérer en autoritarisme. Par conséquent, il est nécessaire de bien clarifier les attentes en matière d’autorité, restant sauves les notions de parité et de liberté de l’homme et de la femme selon les dispositions de la Déclaration universelle des droits de l’homme (cf. art. 1, 2, 3, 13).

2.3. Toile de fond

Le Coran et la tradition musulmane ne permettent pas de liens matrimoniaux dans les deux cas suivants :

– le mariage d’une musulmane avec un homme d’une autre religion que l’islam ;

– le mariage entre un musulman et une femme autre que musulmane, chrétienne, juive ou d’une autre religion monothéiste. « N’épousez pas de femmes polythéistes, avant qu’elles ne croient » (La Vache, sourate 2, v. 221). « L’union avec les femmes croyantes (= les musulmanes) et de bonne condition, et avec les femmes de bonne condition faisant partie du peuple auquel le Livre a été donné avant vous (= les chrétiennes et les juives), vous est permise, si vous leur avez remis leur douaire, en homme contractant une union régulière » (La Table servie, sourate 5, v. 5).

Dans un mariage islamo-chrétien, et du point de vue de l’islam, l’épouse non-musulmane jouit des mêmes droits qu’une épouse musulmane, mais elle n’a pas les mêmes devoirs puisqu’elle ne pratique pas la même religion. L’interprétation de la liberté de la femme est variable selon les régions d’origine du mari musulman et selon l’école juridique à laquelle se réfère le mari. Globalement, l’épouse chrétienne a le droit d’exercer sa religion librement, même de la signifier au foyer par des symboles chrétiens à certains endroits et discrètement. Dans certains pays musulmans cependant, cela est interdit. Concernant sa liberté par rapport aux interdits musulmans, notamment la consommation de viande de porc et d’alcool, les avis juridiques divergent beaucoup et il faudra négocier les possibilités avec le partenaire musulman.

Ceci constitue la toile de fond de la conception musulmane du mariage, mais chaque aire culturelle a développé des traditions complémentaires qu’il convient de connaître et de se faire préciser. Le partenaire musulman ignore souvent la conception chrétienne du mariage : il convient donc de l’expliciter, tout en sachant qu’il en fera une lecture à partir de ses propres convictions.

Pour que le mariage soit reconnu par l’Église, l’autorisation du supérieur déjà mentionnée (Dispense d’empêchement de disparité de culte) ne suffit pas ; le mariage lui-même doit être célébré dans les formes prévues par le Droit canon (c. 1108 § 1 ; c. 1117) et par les livres liturgiques. Le consentement doit être exprimé devant le curé ou son délégué en présence de deux témoins, au cours d’une liturgie de la Parole, sans célébration eucharistique. Aucune autre célébration matrimoniale selon le rite islamique ne peut avoir lieu. Cela n’exclut pas la « fête des noces » musulmane, pour autant qu’elle ne contienne pas des éléments qui seraient contraires à la foi de la partie catholique. L’Ordinaire (évêque ou vicaire général) peut aussi permettre de renoncer au devoir de forme catholique (Dispense de forme), bien qu’il faille, dans ce cas, compter avec des difficultés considérables ; dans une telle situation, une forme officielle de consentement (p. ex. mariage civil) est indispensable à la validité du mariage. Cette forme de mariage est reconnue par l’Église catholique romaine (cf. c. 1127 § 2).

3. La liberté religieuse

Le Coran dit explicitement qu’il n’y a pas de contrainte en religion (La Vache, sourate 2, v. 256). Mais il y a des règles élaborées dans les écoles juridiques musulmanes qui sont aujourd’hui encore considérées comme indiscutables car relevant de la tradition musulmane la plus ancienne : notamment que le mari doit être musulman car la religion se transmet par l’homme et l’homme est le chef de la famille, selon une vision patriarcale. L’islam ne peut pas concevoir une famille sous l’autorité d’un chrétien. Concernant la religion des enfants, la tradition musulmane est claire : les enfants issus d’un foyer islamo-chrétien sont de fait musulmans, même si dans la pratique ce n’est pas toujours vécu ainsi. L’Église catholique romaine demande à la partie catholique du couple islamo-catholique de faire connaître et de partager sa foi catholique aux enfants (c. 1086 § 2 ; c. 1125). Ces attentes opposées des deux communautés religieuses peuvent provoquer des tensions considérables. Pour cette raison, les questions qui en découlent doivent être absolument clarifiées dans un contrat avant la conclusion du mariage.

En ce qui concerne la conversion : il est possible qu’un musulman se convertisse à la foi chrétienne, mais sous certaines conditions (notamment ne pas médire sur la communauté religieuse qu’il quitte), mais il est socialement très difficile voire impossible pour un musulman d’embrasser la foi chrétienne : rejet de la part de sa famille, grand sentiment de culpabilité envers elle, pressions de la communauté religieuse et des imams. La conversion de l’épouse chrétienne vers l’islam est fréquente et elle suscite des étonnements, des peurs et parfois des rejets de la part de sa famille. Et pourtant le Coran dit : « Tu ne diriges pas celui que tu aimes, mais Allah dirige qui il veut » (Le Récit, sourate 28, 56). Pastoralement, il est à recommander que la communauté chrétienne encourage le partenaire chrétien à rester chrétien, car la conversion de celui-ci vers l’islam est souvent une question de commodité du vivre ensemble et cela ne doit pas être un motif suffisant de conversion.

4. Entretiens de préparation

Lors des entretiens de préparation d’un mariage entre une personne catholique et son partenaire musulman, il convient d’expliquer au conjoint musulman que le chrétien a une vision théologique du mariage, que celui-ci est célébré religieusement et qu’il est distinct du mariage civil. Il faut relever qu’une union entre chrétien et musulman n’est pas sacramentelle. Le prêtre prépare le mariage comme de coutume. Mais il sera difficile d’obliger le partenaire musulman à assister à des rencontres communes avec d’autres couples en préparation de mariage ; à cet égard, il convient de trouver une solution au cas par cas, mais la participation ne peut être forcée. Par contre, le prêtre devra porter une attention particulière aux questions suivantes et les discuter avec les conjoints ou au moins avec le partenaire catholique :

4.1. L’interculturel se mélange avec la culture islamo-catholique

En dehors des différences religieuses, un couple islamo-chrétien affronte des différences de culture. Dans la vie commune du couple, il n’est pas toujours facile de distinguer les facteurs purement religieux d’éléments proprement culturels. C’est pourquoi l’entretien préparatoire au mariage devra comporter une réflexion sur l’interculturel, sur le respect et l’intégration, dans un seul et même foyer, de manières différentes d’aménager l’espace habitable, de cuisiner, de se comporter en société, d’envisager la place de la famille élargie ou la façon de passer les jours fériés, de gérer l’argent, etc.

4.2. L’absence de pratique religieuse

Il arrive parfois que l’un des deux partenaires a peu de convictions religieuses ou ne pratique qu’occasionnellement. Cela est spontanément considéré comme « facilitant » le défi interreligieux du couple. Néanmoins, la pratique religieuse peut devenir un problème et peser lourdement sur la vie du couple. Il n’est pas rare d’ailleurs que l’un des partenaires redécouvre sa religion dans le miroir de la pratique religieuse de son conjoint. De même, des tensions interreligieuses dans l’entourage peuvent avoir pour conséquence que l’identité religieuse de l’un des conjoints se renforce.

5. Le contrat de mariage

5.1. Conditions du contrat légal

Comme pour l’islam le mariage est un contrat, il est conseillé de le conclure devant notaire, avant le mariage. De cette manière, des questions épineuses peuvent être réglées au préalable dans le cadre du droit suisse, comme par exemple le déroulement de la cérémonie du mariage, le droit des époux à l’éducation des enfants (non seulement pendant la durée du mariage mais aussi en cas de séparation ou de divorce), l’appartenance religieuse des enfants et de l’épouse, le droit d’héritage et le règlement de la succession, le droit au divorce, le droit d’entretien pour soi et pour les enfants, la sauvegarde des apports personnels, le droit à une répartition équitable des biens en cas de séparation ou de divorce.

5.2. Les enfants

L’appartenance à deux cultures peut être un enrichissement pour les enfants mais peut aussi amener des difficultés. Les parents devront se préoccuper de la transmission de la foi.

Pour éviter une absence totale de foi, les parents doivent aider l’enfant à accueillir l’appel de Dieu et à s’ouvrir à Dieu par la prière. Cette dynamique va au-delà des traditions religieuses ; elle provient de sa propre conviction religieuse et est vécue à travers elle.

Le choix du nom de l’enfant est une première manifestation possible de la liberté d’expression. C’est aussi une marque de respect mutuel et de qualité de la relation des parents entre eux. Il y a des noms qui n’appartiennent pas qu’à une seule des deux religions, mais aux deux, comme par exemple Marie, Nadia, Samuel, David, …

5.3. La théologie

Vouloir continuer d’appartenir à sa propre religion met à l’épreuve l’amour et le projet commun des époux. Il est important de voir les diverses conceptions théologiques pour ne pas gommer les différences existantes et ne pas détourner l’autre conjoint de son chemin de foi.

L’épreuve spirituelle consiste dans le renoncement à vouloir « imposer » au conjoint quoi que ce soit par des argumentations ou des théories religieuses. Le couple islamo-chrétien n’est pas le terrain de disputes théologiques, mais le lieu pour mettre en pratique concrètement le meilleur de chacune des religions et pour faire preuve d’un respect vécu à l’égard de la foi de l’autre.

Mais, pour des couples croyants, le simple respect de la religion de l’autre n’est pas suffisant dans la durée. Un approfondissement de cet « être devant Dieu » doit être possible par l’accompagnement spirituel d’un prêtre ou d’un groupe spécialisé.

5.4. Relations avec les communautés religieuses

La relation avec les communautés religieuses musulmanes (centres islamiques) ou avec les communautés chrétiennes (paroisses et mouvements) est souvent facteur de tensions pour les couples. Il est souhaitable que le couple islamo-chrétien s’engage non seulement à respecter l’engagement religieux et communautaire de chacun des partenaires, mais aussi que l’autre partenaire participe en partie à la vie communautaire, au moins pour des activités ou rencontres sans acte religieux (réunions conviviales, échanges de vues).

6. Retour vers le pays d’origine

Le couple devra se déterminer avant le mariage sur son lieu de vie (domicile commun), même si celui-ci peut changer au cours de la vie commune. Les conditions d’établissement en Suisse ou à l’étranger devront être discutées, ainsi que le processus de décision que le couple engagera pour changer son lieu de vie.

Si un départ vers un pays étranger à prédominance musulmane forte est décidé, il est important que le partenaire chrétien se renseigne sur son statut juridique dans ce pays en tant que chrétien. La paroisse devra l’aider à trouver une insertion chrétienne dans le nouveau pays. Le Groupe de travail « Islam » de la CES se tient à disposition pour des informations souhaitées. Il est probable qu’une épouse catholique sera en difficulté dans un pays à forte identité musulmane, et il est préférable d’en être bien conscient avant le déménagement pour éviter de mauvaises surprises, comme l’illustrent de nombreux cas.

7. Préparation au mariage

Il est indispensable que le partenaire musulman soit partie prenante dans ce projet de mariage à l’église. Il devra donc participer, au moins partiellement, à la préparation de la célébration. Il va également de soi que le partenaire chrétien pourra aussi discuter seul avec le prêtre. Celui-ci sensibilisera le couple à développer leur conscience des différences culturelles et religieuses, à s’abstenir de toute pression réciproque, et à permettre le contact avec les deux communautés de croyants et avec leurs responsables. Les époux devront pratiquer l’écoute mutuelle et apprendre à connaître la culture et la religion du partenaire.

La présence d’unimam n’est pas toujours souhaitée, mais le prêtre encouragera le couple à rencontrer avant la célébration au moins un responsable de la communauté musulmane, si possible proche de la culture du partenaire musulman.

8. La célébration du mariage

La partie musulmane ne doit pas se sentir mise sous pression. Il y a diverses manières pour elle de participer à la célébration, en tenant compte également de sa personnalité. Au chapitre III du « Rituel romain de la célébration du mariage » on trouve des formulations adaptées aux situations particulières.

Dans l’esprit de la Déclaration Nostra aetate du Concile Vatican II sur les relations de l’Église avec les religions non chrétiennes, il est tout à fait envisageable que des textes musulmans, notamment tirés du Coran ou de la tradition islamique, soient lus par des parents ou des connaissances du conjoint musulman – à la condition expresse qu’ils ne remplacent pas les textes liturgiques et bibliques et ne contredisent aucune vérité chrétienne.

9. Conclusion

Chaque couple est unique. Tout dépend du degré d’engagement religieux des conjoints, de la force de leurs liens avec les coutumes de leurs pays d’origine, et de leur liberté intérieure. Dans l’accompagnement du couple mixte, le prêtre doit mener un échange ouvert et empreint de compréhension.

Lors de la préparation du mariage, il convient de souligner qu’il est essentiel, pour que le mariage puisse avoir lieu, que les deux époux acceptent la nature du mariage voulue par le Créateur. Ce n’est que lorsqu’ils acceptent les éléments et les propriétés essentiels du mariage que le mariage peut être célébré. En particulier, la question de la monogamie doit être abordée avec la partie musulmane. En outre, un mariage catholique ne peut être autorisé que si la partie catholique se déclare prête à vivre sa foi et à s’efforcer, dans la mesure où les circonstances le permettent, de faire baptiser et d’élever les enfants dans la foi catholique. La partie musulmane doit être informée de cette déclaration d’intention et ne pas y être opposée. ?

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