Un aveugle insiste pour crier à Jésus, ce qui énerve tout le monde. En quoi sa vision était-elle meilleure que la leur ?
Évangile (lire Mc 10, 46-52)
Alors que Jésus, ses disciples et « une foule nombreuse » quittaient Jéricho (une ville située à environ 27 kilomètres au nord-est de Jérusalem), ils rencontrèrent un mendiant aveugle, Bartimée, assis au bord de la route. Le bourdonnement de la foule annonça à Bartimée que Jésus de Nazareth passait par là. Il se mit à crier : « Jésus, fils de David, aie pitié de moi. »
C’était une façon très inhabituelle pour une personne qui ne connaissait pas Jésus de s’adresser à lui. C’était plein de signification messianique. Les Juifs croyaient que le Messie qu’ils attendaient serait un descendant du roi David et son héritier légitime (voir Ésaïe 9 :7 ; Ézéchiel 34 :23-24). De plus, la tradition juive s’attendait à ce que le Messie guérisse et exorcise les démons, comme on croyait que le roi Salomon l’avait fait autrefois (voir Sg 7 : 20). Ainsi, dans un grand cri, le mendiant aveugle identifie Jésus comme Celui que tous les Juifs désiraient.
La foule n’a pas été amusée : « Et beaucoup l’ont réprimandé, lui disant de se taire. » Cela soulève deux questions : (1) Comment Bartimée savait-il qui était Jésus ? (2) Pourquoi la foule était-elle si impatiente envers lui ?
Parce qu’il était aveugle, Bartimée devait se fier à ce qu’il entendait des autres à propos de ce Jésus de Nazareth. Avait-il entendu des histoires de personnes qui l’avaient vu ? Il y avait beaucoup de parler du faiseur de miracles de Galilée. Notez que même ici, il y avait une « foule nombreuse » avec Lui. Les personnes aveugles comptent sur leurs autres sens pour apprendre ce qu’elles ont besoin de savoir. Bartimée était un mendiant, incapable de travailler pour subvenir à ses besoins à cause de sa cécité. Son audition devait être fine et il avait beaucoup de temps libre. En écoutant ce que l’on disait de Jésus, est-il devenu convaincu que les prophéties messianiques qu’il avait connues toute sa vie s’accomplissaient chez ce remarquable rabbin ? Même sans pouvoir voir Jésus, était-il sûr de pouvoir profiter au maximum de ce moment et de crier pitié au Fils de David, le nouveau roi d’Israël ?
Pourquoi « beaucoup » dans la foule ont-ils essayé de le faire taire ? Pensaient-ils qu’appeler Jésus « Fils de David » était vraiment exagéré ? Étaient-ils convaincus qu’un mendiant marginalisé comme Bartimée ne devait pas s’adresser à quelqu’un d’aussi important que Jésus ? Leurs sensibilités ont-elles été offensées sur les deux points ? Si c’est le cas, alors Bartimée pourrait « voir » Jésus bien mieux qu’eux. Leurs reproches, dus à leur aveuglement, rendirent Bartimée encore plus déterminé. Aussi désespéré et improbable que cela paraisse, il n’allait pas laisser ce moment lui échapper.
Sa persévérance a porté ses fruits : « Jésus s’est arrêté et a dit : ‘Appelle-le.’ » Nous ne sommes pas surpris de voir la réponse de l’aveugle : « Il jeta son manteau, se leva et vint vers Jésus. » Il était si impatient de confier son besoin à Jésus ! Il semblerait évident que ce que Bartimée attendait de Jésus, c’était que sa vision soit guérie. Pourquoi Jésus n’a-t-il pas simplement tendu la main et fait cela ? Pourquoi a-t-il demandé à l’homme : « Que veux-tu de moi ? » Peut-être que Jésus voulait que cette rencontre avec le nécessiteux Bartimée soit personnel (nous l’avons si souvent vu dans l’Évangile de saint Marc). Jésus voulait avoir une conversation avec l’homme qui le savait déjà et qui croyait tant de choses à son sujet.
Remarquez l’humilité dans la réponse de Bartimée : « Maître, je veux voir. » Il n’a pas demandé à être guéri. Il a simplement exprimé son besoin le plus profond à Celui qu’il croyait pouvoir le satisfaire.
Une fois cet échange personnel eu lieu entre Jésus et l’aveugle, le miracle s’était déjà produit : « Partez ; ta foi t’a sauvé. Jésus lui dit que sa foi – sa conviction que toutes les promesses de Dieu aux Juifs étaient résumées en Jésus – a été la cause de sa guérison : « Immédiatement, il recouvra la vue… » La première guérison que Bartimée reçut ce jour-là n’était pas dans ses yeux. mais dans son âme : « …et [he] je l’ai suivi en chemin. Le mendiant aveugle est devenu un disciple de Jésus. Ainsi, il devient une illustration de tout ce que le Fils de David est venu faire, d’abord pour les Juifs, puis pour le monde entier.
Le péché fait de nous tous des mendiants aveugles, incapables de voir la Vérité et totalement incapables de s’aider nous-mêmes. Un cri de foi en Jésus comme aide promise par Dieu signifie une relation personnelle avec le Fils de Dieu et une vie toute nouvelle. Voyez comment Bartimée « jeta son manteau », ce qui est une image de l’abandon d’une ancienne voie pour la nouvelle. Lorsque notre foi nous amène à Jésus, nous sommes guéris. L’autonomie du péché qui nous laisse sur le bord du chemin n’est plus attrayante. Nos pieds trouvent un meilleur chemin, en suivant Jésus « en chemin ».
La vue physique est une bénédiction, mais les yeux ouverts de l’âme, comme nous l’enseigne Bartimée, sont un don bien plus grand.
Réponse possible : Seigneur Jésus, je sais que tous mes besoins peuvent me conduire à Toi, si seulement je les laisse faire. S’il te plaît, aide-moi à entendre quand Tu m’appelles à venir.
Première lecture (lire Jr 31 : 7-9)
Nous pouvons voir que bien avant l’époque de Bartimée, Dieu avait promis, par l’intermédiaire du prophète Jérémie, de restaurer un jour son peuple exilé, qui était alors comme des mendiants aveugles dans un pays étranger, dans une grande joie. « Les aveugles », ainsi que d’autres personnes dans le besoin, reviendraient « comme une foule immense » (rappelons que saint Marc a noté la « foule nombreuse » avec Jésus dans notre Évangile). Dieu dit : « Je les conduirai vers des ruisseaux d’eau, sur un chemin plat, afin que personne ne trébuche. » Rappelons que Jésus offrait de l’eau vive à ceux qui croyaient en lui (voir Jn 4,14 ; 7,38). Bartimée a découvert cette eau vive « au bord de la route ».
Lorsque l’aveugle se rappelait de telles promesses et entendait parler de Jésus, il criait de pitié. Ainsi, il est un exemple vivant de ceux qui « sont partis en larmes » mais que Dieu promet de « consoler… et guider ».
Pas étonnant qu’il ne se taise pas !
Réponse possible : Père céleste, le monde d’aujourd’hui est rempli de gens qui vivent comme des exilés loin de toi. Aidez votre Église à leur annoncer la Bonne Nouvelle de la réconciliation en Jésus.
Psaume (lire Ps 126 : 1-6)
Le psaume approfondit notre appréciation de la façon dont notre épisode évangélique est un accomplissement emblématique des promesses de Dieu à son peuple dans le besoin – les Juifs d’abord, puis le monde entier. Il décrit l’extase du peuple de Dieu qui, après avoir été exilé de sa patrie à cause du péché (comme Adam et Ève furent exilés d’Eden), fut renvoyé par Dieu et réconcilié avec Lui (comme Il l’a fait pour nous à travers Jésus et Marie).
Le psalmiste dit : « …notre bouche était remplie de rire et notre langue se réjouissait. » Il nous dit que lorsque « les nations » entendirent parler de l’œuvre miséricordieuse de Dieu envers son peuple, Israël, elles dirent : « L’Éternel a fait de grandes choses pour eux. » Cela nous rappelle l’époque où la foule dans l’Évangile, après avoir entendu que Jésus recherché pour parler avec le mendiant aveugle, dit à Bartimée : « Prends courage ; lève-toi, Jésus t’appelle. La restauration et le don de la vie nouvelle par Dieu n’ont qu’une seule réponse appropriée, hier et aujourd’hui : « Le Seigneur a fait de grandes choses pour moi ; nous sommes remplis de joie.
Réponse possible : Le psaume est, lui-même, une réponse à nos autres lectures. Relisez-le dans la prière pour vous l’approprier.
Deuxième lecture (lire Hébreux 5 : 1-6)
L’auteur de l’épître aux Hébreux parle ici de l’humilité de Jésus, qui ne s’est pas « glorifié » en prenant sur lui l’honneur du sacerdoce. Il s’attendait plutôt à ce que Dieu le nomme « prêtre pour toujours, selon l’ordre de Melchisédek ». Même le propre Fils de Dieu n’a rien demandé au Père ; Il attendait d’être « appelé par Dieu ».
Cela nous rappelle encore une fois Bartimée. En passant, Jésus a crié de pitié. Cependant, il n’a pas fait un pas vers Lui jusqu’à ce que Jésus lui dise : « Appelle-le ». Une fois l’appel lancé, l’aveugle a eu une réponse immédiate et joyeuse. Lorsque Jésus a demandé ce qu’il voulait, il n’a fait aucune exigence ; il a simplement exprimé son désir : « Maître, je veux voir. » En cela, il devient pour nous un exemple d’humilité.
C’est avec humilité que Jésus a reçu son appel à être notre Souverain Sacrificateur. Avec humilité, il s’offre à nous dans l’Eucharistie. Alors que nous nous tenons devant Lui, en réponse à Son appel, nous pouvons dire avec Bartimée : « Maître, je veux voir ». Jésus ne se lasse jamais de guérir notre cécité.
Réponse possible : « Maître, je veux voir. »
Le Sueur, E. (1645). Le Christ guérissant l’aveugle [painting]. Récupéré de Wikimedia Commons.
Élever nos prières pour nos proches au Seigneur de bon matin.
La finale phase de la prière du matin consiste à prier pour nos êtres chers, l’ensemble de notre famille, nos connaissances et notre communauté. Nous pouvons prier pour leur bien-être, leur bonheur, leur protection, et leur réussite. Nous pouvons également prier pour nos ennemis et pour ces individus qui nous ont offensés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur montrer la compassion.
Invoquer pour la vigueur et la protection de nos familles.
Seigneur, nous autres te confions nos familles, nos propres familles avec nos amis. Surveille, Ô Dieu, au-dessus de eux, ainsi que protège -les de tout péril et de toute affliction. Accorde, Ô Seigneur, la vigueur du corps avec de l’esprit pour eux, ainsi que la paix dans leur cœur. Que ta main forte les âmes garde avec les personnes guide chacun au long de cette journée, afin qu’ils jouissent dans une protection ainsi que la sérénité.
Nous tous à toi prions aussi pour nos propres enfants, Seigneur tout-puissant, qu’ils grandissent dans la foi avec dans l’amour de ton saint nom. Accorde, cher Dieu, une sagesse et la force nécessaires afin de affronter les épreuves de la vie, ainsi que guide leurs pas sur le chemin de la vérité ainsi que de la justice.
Enfin, nous tous te prions à nos amis et nos voisins, Seigneur, pour qu’ils expérimentent la joie de ton amour ainsi que la sérénité de ton pardon. Accorde-leur, cher Dieu, de cœurs généreux afin de partager avec ceux qui dans le besoin, et bras largement ouvertes en vue de accueillir ceux que seuls et aussi abandonnés.
Prier pour nos ennemis et ceux qui sont nous-mêmes ont offensés.
Ô Seigneur, le Christ, nous t’ prions pour notre ennemis et pour ceux-ci qui nous autres ont offensés. Accorde-leur, ô Jésus, votre miséricorde et votre pardon, et aussi ouvre leur cœur à la lumière des ta vérité. Aide-nous, Seigneur Dieu, à leur montrer de la compassion et à leur pardonner comme tu nous as pardonné. Que votre paix règne dans notre cœurs et aussi que votre amour guide nos actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux que nous-mêmes entourent.
Comprendre la prière :
Pour terminer, l’ invocation nous rappelle notre mission comme progéniture de Dieu : être des observateurs de sa lumière et de son affection dans une période touchée aux ténèbres. À travers notre paroles et nos actes, nous répandons l’Évangile de l’ sérénité et de la réconciliation, amenant l’attente et la réparation à un environnement brisé.
À l’intérieur de la spiritualité chrétienne, le aube porte l’ signification distincte, représentant le renouveau et la renaissance spirituelle. C’est au début de chaque matinée que l’esprit se oriente vers l’Éternel dans la prière, cherchant à se trouver éclairée par la lumière divine. La pratique des prières matinales est profondément enracinée dans la tradition chrétienne, proposant un moment exclusif pour se connecter avec l’Éternel et se préparer spirituellement aux défis de la journée qui vient.
En au cœur au sein de ces prières matinales se trouve souvent une dévotion particulière envers Marie, la mam de Jésus et personnage sainte adorée par un grand nombre fidèles. En tant d’ intermédiaire entre les hommes et Dieu, Marie reste priée pour intervenir pour nous, nous conduisant sur le sentier de la sainteté et de la grâce divine. Son apparition parentale offre consolation et abri, cercant nos prière matinales avec une délicatesse céleste.
À via l’ prière du matin, on est invités pour se unir vers Marie dans une démarche de purification personnelle. En méditant au sujet de sa vie et ses vertus, nous recherchons pour imiter son humilité, la pureté et son obéissance à l’ volonté du Dieu. À travers la sainteté modèle, Marie devient pour nous un modèle pour vie chrétienne, nous remémorant l’importance du prière et de la contemplation au sein de nos cheminement spirituel.
Prions ensemble un prière matinale, dans l’unité de notre foi, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Au sein de notre monde tourmenté par la guerre et la discorde, optons à la prière comme un moyen de retrouver la paix et l’harmonie. Les catholiques du monde entier peuvent faire déposer un message pour la Sainte Vierge en sollicitant les bénévoles. Que nos supplications s’élèvent vers le ciel, comme une offrande reçu avec faveur à Dieu, afin qu’il guide nous guider nos pas vers la voie de la justice et de la vérité. Saint Paul nous exhorte dans ses lettres à prier sans cesse, en toutes circonstances, afin que notre communion avec Dieu reste solide et ardente. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a la capacité pour transformer les cœurs et d’influer le destin de l’histoire.
La récitation du matin est ainsi un instant privilégié pour se consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en lui présentant nos adorations, nos reconnaissances et nos intentions les plus intimes. À travers la quiétude de l’aurore, on se trouve invités pour tourner envers la maman divine, qui on guide par affection sur du chemin du la foi et du sentiment amoureux divin. En unissant nos voix à celle-ci du Marie, nous augmentons notre prières matinales vers du trône de la grâce, sûrs que nos supplications seront entendues et accueillies auprès de le cœur miséricordieux de Dieu.
Prière envers le matin avec dieu et Marie la Vierge
Dieu tout-puissant et plein de miséricorde, en ce nouveau jour qui commence sous la clarté de ta divine lumière, je viens à toi avec foi et modestie. Que cette jour qui commence soit consacrée à ton saint nom, que chaque pulsation de mon être |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en offrande. Que chaque souffle qui anime mon corps soit un soupir de dévotion |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Que la prière résonne, suppliez, suppliez, que nos âmes se confient, que nos esprits s’élèvent.
Tel Marie, la mère bienheureuse qui a porté en son sein l’enfant Jésus, accompagne-moi dans ce cheminement de foi et de dévotion. Que je puisse, par le biais de les pages de l’Évangile, découvrir la lueur pour éclairer mes pas et renforcer ma foi. À l’instar de Pierre, donne-moi la force et la bravoure de surmonter les épreuves de ce monde avec une foi inébranlable en ta divine providence.
Durant ce moment de Carême, où les croyants et les chrétiennes se préparent à célébrer la résurrection de notre Seigneur bien-aimé, accorde-moi, Seigneur, la grâce du réveil spirituel. Que mon cœur soit purifié de toute impureté, afin qu’il devienne un sanctuaire pour ta divinité. Que mes suppliques, inspirée par l’exemple de François d’Assise, résonne tel un hymne de louange à travers les siècles.
Seigneur, que ma journée soit imprégné de ton amour, que chacun des instants soit une occasion de entrer en communion avec toi et de te servir dans mes semblables. Que ma vie soit un témoignage vivant de ta tendresse infinie pour l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant toute ma journée dans une ambiance de paix. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Dieu Tout-Puissant, devienne une réplique du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers les autres. Que chacune de mes pensées et de mes actions soit dirigée par ton Esprit saint, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ta justice sur ce monde.
Que cette journée soit une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une opportunité de grandir dans la foi. Seigneur, envahis mon cœur, transforme-le en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste à chaque instant. Que chacun de mes battements de cœur se transforme en un chant à ta gloire, ô Seigneur, pour les siècles des siècles. Amen.
Au sein de le réveil religieux de toute âme chrétienne, la supplication a un rôle. Celle-ci constitue la connexion profonde entre le croyant divin et sa mère céleste, Marie, la sainte prie en faveur de nous auprès de son sacré Fils. En utilisant la supplication, les fidèles entrons dans la clarté de la parole de Dieu, guidés sous le Saint-Esprit, pour déceler la réalité et la bénédiction que Jésus nous offre.
Méditation sur la Parole de Dieu :
On sommes capables de méditer sur un passage religieux lequel nous enseigne de la tendresse du Seigneur. À titre d’exemple :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais le don de prophétie, la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas l’amour, je ne suis rien. . »
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Renaissance (Gilkin).,Article complet.. Suite sur le prochain article.
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Les Consolations (Sainte-Beuve)/La Harpe éolienne.,L’article de presse.
La renaissance septentrionale et les premiers maîtres des Flandres/Table illustrations 2.,Le post d’actualité.
Introduction à la vie dévote (Brignon)/Manière de dire dévotement le Chapelet.,Cliquer ICI.. Suite sur le prochain article.
Dictionnaire apologétique de la foi catholique/Marie, Mère de Dieu (III. Prérogatives).,L’article ICI.. Suite sur le prochain article.
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