L’année prochaine sera le 75e anniversaire de Dieu munificentissime« Le Dieu très généreux », l’encyclique de Pie XII dans laquelle il définit (1er novembre 1950) la doctrine de l’Assomption de Marie corps et âme au Ciel. La plupart des catholiques savent que ce document représente la deuxième des deux seules occasions où un pontife romain a exercé son autorité pour définir la doctrine de manière infaillible. Il devrait donc être très important. Mais il y a des chances que vous ne l’ayez jamais lu. Si c’est le cas, puis-je vous suggérer de l’étudier un jour, en cette grande solennité, et même d’envisager d’en faire une sorte de « compagnon » pour l’année à venir, menant à cet anniversaire ? Son enseignement est hautement édifiant – et surprenant.
Dès le début, le ton de ce livre surprend. Il nous vient de l’autre côté de ce grand fossé que sont les années 1960. Ne montrant aucun signe de ce rejet désinvolte du péché et de cette foi étourdie dans le progrès qui ont marqué notre époque, il considère la condition humaine comme une série « d’anxiétés, de soucis et de troubles » dans lesquels, de temps à autre, Dieu interpose des consolations.
Parmi ces faits, il faut souligner que « la foi catholique est professée publiquement et avec vigueur » et que « la piété envers la Vierge Mère de Dieu est florissante et devient chaque jour plus fervente ». D’où une autre note de l’encyclique qui est agréablement surprenante (du moins pour moi), à savoir son profond rejet de la philosophie matérialiste.
A la fin de l’encyclique, Pie XII se réjouit d’avoir pu « orner le front de la Vierge Mère de Dieu de cette pierre brillante et laisser un monument plus durable que le bronze de notre amour le plus fervent pour la Mère de Dieu ». Et je pense plutôt que si vous lui aviez demandé quel était le plus grand don et la plus grande consolation pour le peuple de Dieu, la définition de l’Assomption ou une grande basilique comme Sainte-Marie-Majeure, il aurait répondu le premier.
Un autre fait surprenant concernant l’encyclique est que le « développement de la doctrine » n’est jamais invoqué. Les notes de Newman sur un « développement véritable » ne sont jamais mentionnées, même implicitement. Au contraire, il est clair que Pie XII, et clairement son point de vue sur le point de vue de tous, est que l’Assomption de Marie a toujours été une vérité de la foi catholique, depuis le tout début.
Quelle est donc la « définition » ? Que fait réellement le pape dans l’encyclique ? Voici le genre de choses que l’on pourrait imaginer : un pape et ses conseillers (peut-être le chef du DDF, ou « petit cercle d’étude » au sein de la PAL) s’assoient et réfléchissent à une nouvelle réalisation qu’ils croient, peut-être à la lumière des « signes des temps » – bien que cela n’ait jamais été admis auparavant, ou certainement pas par tout le monde – découlant de l’Évangile. Ils testent ensuite ce nouvel enseignement avec quelques évêques et, si personne ne s’y oppose, le pape peut le présenter comme un « développement de la doctrine ». Et comme il est infaillible, il n’y a pas de retour en arrière possible.
Pie XII pense faire quelque chose de très différent. Il pense que tout le monde a toujours considéré l’Assomption comme vraie. Définir l’Assomption, c’est simplement changer la position de cette vérité. Grâce à l’encyclique, l’Assomption passe d’une simple vérité profonde que tout le monde considère comme vraie à une vérité profonde que l’Église propose formellement comme vraie et exige que tout le monde la croie comme appartenant au dépôt de la foi.
C’est pourquoi ce n’est qu’à la fin de l’encyclique, et non avant, seulement après que la doctrine ait été « définie », que Pie XII peut dire : « Si donc quelqu’un, ce que Dieu nous en préserve, ose volontairement nier ou mettre en doute ce que nous avons défini, qu’il sache qu’il s’est complètement éloigné de la foi divine et catholique. »
D’où un autre trait surprenant de l’encyclique, surprenant au regard des critiques de l’Eglise : les affirmations fréquentes de Pie XII selon lesquelles il est lié par la règle de l’Ecriture, qu’il est le gardien du dépôt de la foi et qu’il n’a aucune autorité pour enseigner quoi que ce soit en dehors de ce dépôt. Toute sa manière de procéder, passant soigneusement en revue l’Ecriture, la théologie, la liturgie et les pratiques pieuses des fidèles au cours des siècles, montre un soin considérable à éviter la terrible erreur de lier à tort la conscience des fidèles, en définissant une doctrine qui ne devrait pas l’être.
Mais quel est le fondement de la doctrine dans l’Écriture ? La doctrine selon laquelle Jésus est Dieu est-elle dans l’Écriture ? C’est certainement le cas. Que Marie est la Mère de Dieu parce qu’elle est la mère de Jésus, qui est Dieu ? Oui. Que lorsque Jésus a pris chair d’elle, elle était libre de la souillure du péché originel ? Oui, « pleine de grâce ». kecharitomenē. Que la mort et la corruption sont des malédictions pour ceux qui souffrent de cette souillure ? Voir le livre de la Genèse.
Une réflexion délicieusement surprenante sur l’Écriture dans l’encyclique est l’accent mis par Pie XII sur la proximité de Marie et de Jésus dans leur vie terrestre – un accent mis en effet par de nombreux saints. Pensez-y. Jésus a vécu 33 ans sur terre. Les 30 premières années ont été passées avec sa mère, et la plupart d’entre elles avec elle seule, si Joseph était décédé bien avant. Nous appellerions quelqu’un comme cela un « fils à maman ».
Ensuite, il a voulu que sa mère l’accompagne dans ses déplacements : elle ne l’a sûrement pas fait de sa propre initiative. Il est clair qu’il ne pouvait pas supporter d’être sans elle. Et elle était à ses côtés lorsqu’il est mort. Et une maman est pleinement et véritablement présente à travers sa maternité, qui est corporelle.
« Il semble impossible de penser à elle, celle qui a conçu le Christ, l’a mis au monde, l’a allaité, l’a tenu dans ses bras et l’a serré contre sa poitrine, comme étant séparée de lui physiquement, même si ce n’est pas dans son âme, après cette vie terrestre. »
Si cela vous semble tout à fait possible, la définition de l’Assomption vous le suggère : votre cœur chrétien a besoin de grandir.
Élever nos prières pour nos proches au Seigneur matin.
La finale phase de la prière du matin consiste à prier pour nos propres êtres chers, notre famille, nos amis et notre propre communauté. Nous pouvons prier pour leur propre, leur santé, leur sécurité, et leur prospérité. Nous pouvons également prier pour ceux qui nous ont nui et pour ces individus qui nous ont lésés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur témoigner de la compassion.
Prier pour la condition physique et la tranquillité de nos familles.
Dieu tout-puissant, nous tous te confions nos proches, nos propres familles ainsi que nos connaissances. Protège, cher Dieu, au-dessus de eux, avec préserve -les de tout risque et de toute affliction. Donne, Dieu miséricordieux, une vigueur du corps avec de l’esprit pour eux, et aussi la paix au sein de leur esprit. Puissante soit la volonté pour que ta protection forte les esprits veille et les individus dirige chacun au long de cette journée, pour qu’il puissent vivent dans la protection ainsi que la quiétude.
Nous vers toi prions pareillement pour notre enfants, Dieu, afin qu’ils grandissent dans la foi avec dans l’amour de ton béni nom. Donne, cher Dieu, une sagesse avec le courage nécessaires afin de affronter les obstacles de la vie, et guide leurs pas sur le chemin de la vérité ainsi que de la justice.
Enfin, nous autres te prions à nos amis et aussi nos voisins, Seigneur, qu’ils connaissent la joie de ton amour et la paix de ton pardon. Accorde-leur, cher Dieu, des cœurs généreux afin de partager avec ceux qui dans le besoin, et aussi mains accueillantes afin de accueillir ceux que seuls ainsi que abandonnés.
Prier pour les nôtres ennemis ainsi que ceux que nous-mêmes ont offensés.
Seigneur, le Christ, nous te prions pour notre ennemis ainsi que pour ceux que nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Christ, votre miséricorde et aussi ton pardon, ainsi que ouvre leur cœur à la lumière de ta vérité. Aide-nous, Ô Seigneur, à leur montrer de la compassion ainsi que à leur pardonner comme tu nous autres as pardonné. Que ta paix règne dans les nôtres cœurs et que ton amour guide nos actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux qui sont nous-mêmes entourent.
Saisir la prière :
Pour terminer, l’ prière nous reconnaît notre mission tel que progéniture de Dieu : se trouver des témoins de sa lumière et de son amour dans l’ période touchée aux ténèbres. À travers notre discours et notre actes, nous diffusons le message de la paix et de la rapprochement, apportant l’espérance et la guérison à un contexte brisé.
Dans la spiritualité chrétienne, l’ matin porte l’ valeur spéciale, symbolisant le renouveau et la reconstruction spirituelle. C’est au lever du jour de chaque matinée que l’âme se oriente vers Dieu dans la prière, s’efforçant à être éclairée par la clarté surnaturelle. L’habitude des prières matinales s’avère profondément enracinée dans la tradition chrétienne, proposant un instant particulier pour établir une connexion avec Dieu et se préparer spirituellement aux épreuves de la journée qui vient.
Au au sein au sein de ces oraisons matinales s’ trouve régulièrement une dévotion distincte à l’égard de Marie, maman mère de Jésus et aussi personnage sainte respectée par beaucoup fidèles. En tant d’ intermédiaire parmi les hommes et Dieu, Marie est sollicitée pour intervenir en notre nom, nous guidant sur le chemin vers la sainteté et de la grâce divine. Son présentation parentale offre apaisement ainsi que abri, enveloppant nos propres prière matinales d’une tendresse céleste.
Au par les prières du matin, on se trouve appelés pour nous unir vers Marie dans une démarche pour sanctification personnelle. Par méditant sur sa vie et ses vertus, on cherchons à imiter sa humilité, la pureté et son obéissance à l’ volonté de Dieu. À travers la sainteté parfaite, Marie est en nous une modèle de vie chrétienne, nous souvenant l’importance du prière et du contemplation au sein de nos cheminement spirituel.
Joignons nos cœurs dans la prière matinale, dans notre foi, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde troublé par les conflits et la division, recourons à la prière comme un moyen pour retrouver la paix et la réconciliation. Chacun exprimer une sollicitation pour Marie en visitant cette page. Que nos prières montent vers le ciel, comme un hommage agréable à Dieu, pour qu’il guide nous guider nos pas sur la voie de la vérité et de la justice. Saint Paul nous dans ses épîtres à maintenir une prière incessante, quelle que soit la situation, afin que notre connexion avec Dieu reste constante et passionnée. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a la capacité pour changer les cœurs et d’influer le destin de l’histoire.
La oraison du matin est ainsi un temps privilégié afin de nous consacrer vers Dieu avec l’intercession de Marie, en lui sacrifiant nos acclamations, nos actions de grâce et nos intentions les plus profondes. Dans la quiétude de l’aurore, nous sommes invités à se tourner envers la mère sainte, laquelle on guide avec douceur sur le chemin du la foi et l’amour divin. À travers unissant notre voix à celle de Marie, nous augmentons notre prières matinales à le trône de la grâce, confiants que notre supplications seront entendues et accueillies par du cœur miséricordieux de Dieu.
Prière envers le matin avec dieu et la Sainte Mère
Ô Tout-Puissant et Miséricordieux Seigneur, en ce matin qui s’annonce sous la clarté de ta divine lumière, je viens à Toi avec confiance et humilité. Que cette nouvelle journée qui se profile soit consacrée à ton saint nom, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en acte d’amour. Que chaque souffle de vie que tu m’as donné soit un souffle de prière |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Que la prière résonne, que nos prières montent, priez, que nos âmes se confient, suppliez.
Tel Marie, la sainte mère qui a porté en son sein l’enfant Jésus, conduis-moi dans ce cheminement de foi et de dévotion. Que je puisse, en parcourant les pages de l’Évangile, trouver la clarté pour éclairer mes pas et fortifier ma foi. Comme Pierre, accorde-moi la force et l’audace d’affronter les tempêtes de la vie avec une confiance absolue en ta providence.
Au cours de ce temps de Carême, où les chrétiens et les chrétiennes se préparent à célébrer la résurrection de notre Seigneur bien-aimé, donne-moi, Seigneur, l’éveil spirituel. Que mon âme soit purifié de tout ce qui le souille, afin qu’il devienne un lieu sacré où tu résides. Que mes suppliques, inspirée par l’exemple de François d’Assise, résonne comme un hymne de louange à travers les siècles.
Ô Seigneur, que ma journée soit imprégné de ta bénédiction, que tous les moments soit une occasion de entrer en communion avec toi et de te servir dans mes semblables. Que ma vie soit un témoignage vivant de ta miséricorde sans limite envers l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chacune de mes journées dans une ambiance de paix. Priez, Église, François, Hozana.
Puissent mon cœur, Seigneur, devienne une réplique du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers mes semblables. Que toutes mes pensées et mes actions soient conduites par le Saint-Esprit, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ton règne de justice sur cette terre.
Que cette journée constitue une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une opportunité de grandir dans la foi. Seigneur, possède mon cœur, transforme-le en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste en tout temps. Que chacun de mes battements de cœur devienne un chant à ta gloire, ô Seigneur, pour l’éternité. Amen.
Dans le réveil religieux de tout âme chrétienne, la supplication est essentielle. Elle est le lien profonde entre l’enfant de l’Éternel et sa mère céleste, la Sainte Mère, la sainte supplie en faveur de nous en face de son céleste Fils. Par le biais de la supplication, nous entrons dans la brillance de l’Évangile, guidés avec l’Esprit Saint, afin de découvrir la vraie nature et la bénédiction que Jésus nous offre.
Méditation de la sainte Parole de Dieu :
Il nous est possible de sommes capables de ruminer en ce qui concerne un extrait religieux lequel nous parle de l’amour du Seigneur. À titre illustratif :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.. »
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