La première fois que j’ai lu l’ouvrage de GK Chesterton de 1908 Orthodoxie, Je me suis penché à plusieurs reprises par-dessus le couloir d’un avion pour partager les passages avec mon fils adulte. Chesterton a rappelé ses jours de rationaliste et a décrit à quel point le catholicisme semblait déroutant lorsqu’on lisait les critiques des autres. Il concluait que c’était une religion déraisonnable, à la fois trop pessimiste et trop optimiste ; timide et croisé. Cela condamnait en quelque sorte les femmes aux cloîtres et aux familles. Elle était maigre dans ses cendres et pompeuse dans son rituel. Il finit par se rendre compte que ces accusations en révélaient davantage sur ses détracteurs que sur le catholicisme lui-même. Sa curiosité pour l’enseignement réel de l’Église l’a conduit à sa conversion ultime.
L’expérience de Chesterton reflète le scepticisme croissant que je constate aujourd’hui parmi mes amis et dirigeants catholiques. Je me souviens qu’un ami me taquinait avec un salut « Heil Hitler » lorsque le pape Benoît XVI a démissionné. Pour lui, le pape Benoît XVI incarnait le surnom de Rottweiler de Dieu, du temps où il dirigeait la Congrégation pour la doctrine de la foi. Un autre ami a commenté au début de la papauté du pape François : « Je pense que son jésuite se montre. » Pour lui, les jésuites étaient assimilés au libéralisme politique, ce qui a conduit à des soupçons à l’égard du leadership du pape François. Les deux commentaires visaient l’humour, mais avec un jugement définitif sur le sujet. Ni l’un ni l’autre n’ont invité à la discussion. Qu’il s’agisse de la liturgie, de Vatican II, de la justice sociale ou de la fidélité morale, ce style de communication à la grenade à main – jetez le sarcasme et fuyez – m’amène à me demander comment les catholiques surmonteront cette période de division. Il devient trop facile de considérer cyniquement l’autre comme un moindre catholique, voire carrément infidèle.
Magnifier un aspect de la foi tout en en minimisant un autre, c’est ignorer la leçon que Chesterton a apprise. Les critiques de son époque reflétaient à la fois la nature et la nature du christianisme catholique. L’Église (et le cœur humain d’ailleurs) est toujours assez grande pour la piété et le zèle, pour le travail et pour le culte ; bien qu’à un moment donné, la foi d’un individu puisse magnifier un élément du christianisme plus qu’un autre. Un catholique qui n’a pas concilié certains enseignements de l’Église, tout en s’efforçant quotidiennement de répondre à la souffrance humaine, est un pécheur et un chrétien. Un catholique qui adhère à la doctrine et adore bien, mais qui ne « sent pas le mouton », comme le pape François l’a exhorté, est un pécheur et un chrétien. S’occuper de ceux qui souffrent est une façon d’aimer Dieu. Une liturgie respectueuse et une humble obéissance sont des moyens d’aimer Dieu. Si deux catholiques cheminent vers le Christ à partir de points de départ différents, cela aide-t-il l’un ou l’autre – ou l’Église dans son ensemble – à rejeter le point de vue de l’autre ? Nous, catholiques, ignorons l’avertissement du Christ lorsque nous succombons à la tentation de nous juger les uns les autres : « Arrêtez de juger, afin que vous ne soyez pas jugés. Car comme vous jugez, ainsi vous serez jugés… » (Mt 7, 1-2).
Pour éviter tout jugement, apprendre à « vivre et laisser vivre » semble un choix sûr. Une telle tolérance pourrait suffire comme première étape pour les intolérants, mais elle est bien loin de l’exemple du Christ qui dit la vérité avec amour. Alors que juger révèle une focalisation étroite sur l’éclat dans l’œil d’autrui (Mt 7, 3), prétendre que la personne bien intentionnée n’a jamais besoin de conversion est tout aussi étroite. Le Christ a enseigné que l’aimer, c’est garder ses commandements (Jn 14 : 15). Il a rencontré des gens au cours de leurs voyages et a parlé d’une manière qui les a éveillés à son message – que ce soit par le pardon, la guérison, l’invitation, la discussion ou une confrontation froide et dure – toujours afin qu’ils puissent tourner leur vie vers le Père. Lorsqu’elle est enracinée dans la confiance mutuelle, corriger l’erreur d’autrui est une sorte de don, et l’Église serait plus forte si ses enfants pouvaient donner et recevoir une correction selon la manière dont le Christ l’a enseigné.
Pour être honnête, les paroles du Christ peuvent sembler paradoxales. Il a appris à ses disciples à éviter le jugement tout en leur enseignant les moyens de se corriger mutuellement. Il a volontairement pardonné les péchés tout en exhortant au repentir. L’intention du Christ d’attirer les autres à lui est la clé de cet apparent paradoxe. Le Christ pardonne au pécheur qui se tourne vers lui. Le Christ incite au repentir lorsque le pécheur ne s’est pas encore tourné vers Lui. Il attend la même chose de ses disciples : que nous prenions au sérieux la mission d’attirer les autres à lui. Appeler quelqu’un à la conversion devrait donc toujours avoir un objectif premier : la communion dans le Christ. Après tout, le Christ a prié sincèrement pour la communion entre ses disciples le Jeudi Saint (Jn 17 :21). Il a châtié les dirigeants qui se distinguaient des pécheurs (Lc 18 : 10-14). En réponse à sa plainte, le Christ préfère que Marthe rejoigne Marie dans la communion avec Lui (Lc 10, 38-42). Interrogé sur le divorce, Jésus a rétabli l’intention du Père selon laquelle mari et femme seraient inséparables (Mt 19 : 3-9). À la Pentecôte, Pierre a exhorté les persécuteurs de Jésus à se repentir et à rejoindre leur communauté (Actes 2 : 37-39). Paul met en garde contre la division provoquée par le choix d’un apôtre plutôt qu’un autre (1 Cor 1 : 12-13).
Encore une fois, on pourrait remettre en question cet accent mis sur la communion en rappelant les paroles de Jésus selon lesquelles il est venu provoquer la division (Lc 12 : 51-53) ; mais remarquez que cette division se produit parce que certains refuseraient Jésus tandis que d’autres s’accrocheraient à lui. En répondant au fils qui irait le premier enterrer son père, Jésus utilise l’hyperbole : « Que les morts enterrent leurs morts » pour souligner que rien dans ce monde ne devrait le remplacer (Lc 9 :59-60). Un disciple du Christ peut se séparer d’un autre, mais seulement parce que l’un reste avec le Christ et que l’autre s’en va. Le Christ pouvait prédire une telle division sans la préférer. En vérité, les Écritures résonnent de messages pour inviter, guérir, servir et prêcher, afin que chaque personne puisse adhérer au Corps du Christ.
En cette époque de division, la plupart connaissent une connaissance ou un leader qui semble hypocrite d’un certain point de vue. Ne devrions-nous pas supposer que Jésus désire toujours la communion avec cette personne ? Face à des croyances contraires aux enseignements de Jésus, le rôle d’un chrétien reste le même : rapprocher son adversaire du Christ. Une simple accusation l’éloignera probablement de la vérité plutôt que de l’en rapprocher ; et pourtant, notre culture des phrases se nourrit du cynisme et non de la compréhension. Lorsque des divergences importantes surgissent, la vérité doit prévaloir, mais la conviction devrait-elle empêcher tout effort visant à comprendre le point de vue d’autrui ? La concurrence au détriment du dialogue divise les catholiques et mine notre capacité à attirer les autres vers le Christ.
Bien entendu, toutes les communications ne sont pas dignes de confiance : les demi-vérités et les manipulations visant à gagner des partisans devraient nous faire réfléchir. Dans le même temps, toutes les divergences d’opinions ne révèlent pas une hypocrisie. Peut-être que nos soupçons les uns envers les autres proviennent de priorités morales différentes – du fait que le centre d’activité de l’autre au sein du catholicisme diverge du mien. En d’autres termes, assimiler une idée (par exemple, fidèle catholique) à ma compréhension particulière de cette idée, pourrait me laisser sceptique lorsque je rencontre quelque chose de différent. Si je considère ensuite ce point de vue divergent comme de l’hypocrisie, je l’ignorerai probablement ou le critiquerai comme une menace. Cependant, si je m’engage à préserver la communion, je pourrais commencer par une humble curiosité lorsque je rencontre un catholique qui me met mal à l’aise, de la même manière qu’une homélie stimulante pourrait m’inciter à me demander si ce message est un message que j’ai particulièrement besoin d’entendre. Une telle curiosité pourrait conduire à une relation – un point de départ plus prometteur pour la conversion qu’un doigt accusateur.
Lorsqu’on se concentre sur les lacunes, l’un peut négliger une contribution précieuse que l’autre apporte à la foi. Deux catholiques pourraient-ils préserver la communion en exprimant leur appréciation pour la bonne volonté et les dons de l’autre, même si l’un ou les deux ne parviennent pas à vivre pleinement en Christ ? Je suis reconnaissant envers les catholiques qui servent actuellement à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, même si je n’en fais pas partie. Je suis reconnaissant qu’il y ait des catholiques qui comprennent profondément la beauté et la valeur de la liturgie traditionnelle, même si je suis loin d’une telle compréhension. J’espère que lorsque quelqu’un remarquera mes défauts, il pourra apprécier ma vocation de mari et de père.
En constatant la complémentarité de ces rôles, l’Église met en pratique l’enseignement de Paul selon lequel « l’œil ne peut pas dire à la main : ‘Je n’ai pas besoin de toi’ » (1 Co 12, 21). Paul illustre comment atteindre l’unité pour laquelle le Christ a prié en reconnaissant différents rôles dans un seul Corps. Si nous visons à apprécier les dons qu’un autre utilise au service de Dieu, plutôt que de prêter attention aux défauts, l’Église pourrait expérimenter un autre type de appréciation— une augmentation de valeur, chaque pécheur grandissant en vertu par le biais de ses relations avec un autre.
Cette perspective ne vise pas à ignorer les différences. Par exemple, la conversion est nécessaire lorsqu’un travailleur frontalier considère les sacrements inutiles par rapport à son service ; lorsqu’un participant quotidien à la messe ignore les besoins des souffrants ; et quand un bon père ne participe pas à sa paroisse parce qu’il est « trop occupé ». Les lacunes exigent une discussion honnête, mais sans respect et compréhension, les chances de conversion diminuent. Cependant, dans un dialogue curieux, chacun peut trouver attractifs les dons trouvés chez l’autre, offrant une bien plus grande chance de véritable communion et peut-être même de croissance dans la vertu.
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Chesterton, GK (1908). Orthodoxie. Presse Ignace.
Élever nos prières pour notre entourage au Seigneur matin.
L’ultime finale partie de la prière du matin consiste à prier pour nos propres êtres chers, notre famille, nos connaissances et notre communauté. Nous pouvons prier pour leur, leur santé, leur sécurité, et leur réussite. Nous pouvons également prier pour nos détracteurs et pour celles qui nous ont lésés, et demander à Dieu de nous aider à leur pardonner et à leur exprimer la compassion.
Demander pour la vigueur et la tranquillité de nos proches.
Dieu tout-puissant, nous tous te confions nos proches, notre familles et nos amis. Surveille, cher Dieu, sur eux, et sauvegarde -les de tout risque et de toute affliction. Offre, Seigneur, une bien-être du corps et de l’esprit pour eux, et la paix dans leur esprit. Que ta protection forte les âmes veille avec les individus conduise tout au long de cette journée, pour qu’il puissent jouissent dans une tranquillité et la quiétude.
Nous tous te prions pareillement pour notre enfants, Seigneur tout-puissant, qu’ils grandissent dans la foi avec dans l’amour de ton saint nom. Donne, ô Dieu, une sagesse et le courage nécessaires afin de affronter les défis de la vie, ainsi que dirige leurs pas le long de le chemin de la vérité ainsi que de la justice.
Enfin, nous tous te prions en vue de nos amis ainsi que nos voisins, Seigneur, pour qu’ils expérimentent la joie de ton amour ainsi que la paix de ton pardon. Donne-leur, Ô Dieu, des cœurs pleins de générosité pour partager avec ceux qui sont dans le besoin, et bras accueillantes en vue de accueillir ceux qui seuls et abandonnés.
Prier pour nos ennemis et aussi ceux qui sont nous ont offensés.
Seigneur Dieu, le Christ, nous t’ prions pour nos ennemis et aussi pour ceux que nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Christ, ta miséricorde et aussi votre pardon, ainsi que ouvre leur cœur à la lumière de ta vérité. Aide-nous, Seigneur Dieu, à leur montrer de la compassion et aussi à leur pardonner comme tu nous-mêmes as pardonné. Que ta paix règne dans les nôtres cœurs ainsi que que votre amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux que nous autres entourent.
Comprendre l’ prière :
Finalement, la invocation nous rappelle notre mission en tant que enfant de Dieu : se trouver des témoins de sa lumière et de son attachement dans une ère touchée aux obscurités. À travers notre mots et nos œuvres, nous diffusons l’Évangile de la paix et de la conciliation, offrant l’attente et la réparation à un contexte brisé.
À l’intérieur de l’ foi chrétienne, le lever du jour adopte une valeur spéciale, illustrant le renouveau et la reconstruction spirituelle. C’est au début de chaque jour que le cœur se oriente vers le Seigneur dans la prière, s’efforçant à se trouver éclairée par la clarté céleste. L’habitude des prières matinales se révèle profondément enracinée dans la tradition chrétienne, offrant un moment exclusif pour établir une connexion avec l’Éternel et se préparer intérieurement aux défis de la journée qui s’annonce.
En au cœur de ces oraisons matinales se trouve régulièrement une dévotion spéciale pour Marie, la maternelle de Jésus et figure sainte adorée par beaucoup fidèles. En qualité d’ intermédiaire entre les hommes et Dieu, Marie reste sollicitée pour médier en notre faveur, nous conduisant sur le sentier vers la sainteté et de la grâce divine. Son présence maternelle offre consolation et sécurité, entourant nos prière matinales d’une délicatesse céleste.
En par les oraisons du matin, on est convives à se unir vers Marie au sein de une initiative de purification personnelle. En méditant au sujet de sa vie ainsi que les vertus, nous explorons à imiter son humilité, sa pureté ainsi que son obéissance à la volonté de Dieu. Grâce à sa sainteté exemplaire, Marie devient pour nous un modèle pour vie chrétienne, on remémorant l’importance de la prière ainsi que de la contemplation dans notre cheminement spirituel.
Unissons-nous dans la prière de debut de journée, dans notre foi, en Marie, la mère de Jésus. Au sein de notre monde troublé par la guerre et la division, recourons à la prière pour trouver pour trouver la paix et l’harmonie. Vous aussi vous pouvez faire déposer des vœux pour la mère de dieu en visitant cette page. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme une offrande agréable à Dieu, afin qu’il puisse éclairer nos pas sur la voie de la vérité et de la justice. Saint Paul nous dans ses épîtres à prier sans cesse, en toutes circonstances, afin que notre communion à Dieu soit solide et ardente. La prière, lorsqu’elle est offerte sincèrement, a la capacité de changer nos cœurs et de modifier le cours de l’histoire.
La récitation du matin se trouve être un instant favorisé pour nous consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en lui présentant nos acclamations, nos actions de grâce et nos intentions les plus intimes. Au sein de la quiétude de l’aurore, nous sommes invités pour se tourner à cette mère sacrée, laquelle nous guide avec affection au sujet de du chemin de la foi et l’amour divin. En associant notre voix à celle-ci de Marie, nous élevons nos prières matinales envers le trône de la grâce, sûrs que nos supplications seront entendues ainsi que accueillies auprès de le cœur miséricordieux de Dieu.
Prière envers le matin avec dieu et Marie la Vierge
Seigneur tout-puissant et miséricordieux, en ce jour qui se lève sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à toi avec cœur rempli de confiance et d’humilité. Que cette nouvelle journée qui se profile soit consacrée à ta sainteté, que chaque battement de mon cœur |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en acte d’amour. Que chaque souffle de vie que tu m’as donné soit un souffle d’adoration |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Priez, suppliez, que nos cœurs implorent, priez, suppliez.
Tel Marie, la mère sainte qui a porté en son sein l’enfant Jésus, conduis-moi dans ce parcours de foi et de dévotion. Que je puisse, à travers les pages de l’Évangile, trouver la clarté pour éclairer mes pas et consolider ma foi. À l’instar de Pierre, accorde-moi la vigueur et l’audace de faire face à les tourments de l’existence avec une confiance absolue en ta providence.
Dans ce moment de Carême, où les fidèles et les croyantes se préparent à commémorer la résurrection de notre Seigneur bien-aimé, accorde-moi, Seigneur, l’éveil spirituel. Que mon âme soit purifié de tout ce qui le souille, afin qu’il devienne un temple digne de ta présence. Que mes suppliques, suivant l’exemple de François d’Assise, retentisse comme une mélodie de louanges à travers les siècles.
Seigneur, que chaque jour soit imprégné de ton amour, que tous les moments soit une occasion de entrer en communion avec toi et de te servir dans mes semblables. Que mon existence soit un témoignage vivant de ta tendresse infinie pour l’humanité. Puissent les prières de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chaque instant de ma journée dans une douce tranquillité. Priez, Église, François, Hozana.
Puissent mon cœur, Ô Seigneur, devienne une manifestation du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers mes semblables. Que chacune de mes pensées et de mes actions soit dirigée par le Saint-Esprit, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ta justice sur la terre.
Que cette journée constitue une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, une occasion de grandir dans la foi. Seigneur, prends possession de mon cœur, transforme-le en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste en tout temps. Que chacun de mes battements de cœur se transforme en un chant à ta louange, Seigneur, pour toujours. Amen.
Au sein de l’éveil religieux de toute âme chrétienne, la prière a un rôle. Celle-ci constitue le lien sacré étroite entre le fidèle de Dieu et sa mère céleste, Marie, laquelle intercède pour le compte de nous en face de son céleste Fils. Par le biais de la prière, les croyants entrons au cœur de la clarté de l’Évangile, dirigés par le Saint-Esprit, afin de trouver la vérité et la grâce que Jésus nous offre.
Réflexion sur la sainte Parole du Seigneur :
On pouvons méditer en ce qui concerne une portion biblique qui nous évoque de l’amour du Seigneur. À titre illustratif :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
»
L’amour est patient, il est plein de bonté; l’amour n’est point envieux; l’amour ne se vante point, il ne s’enfle point d’orgueil, il ne fait rien de malhonnête, il ne cherche point son intérêt, il ne s’irrite point, il ne soupçonne point le mal, il ne se réjouit point de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité; il supporte tout, il croit tout, il espère tout, il endure tout.
L’amour ne périt jamais; mais, les prophéties, elles seront abolies; les langues, elles cesseront; la connaissance, elle sera abolie. »
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