Dans l’Évangile d’aujourd’hui, Jésus prend un petit enfant et, l’opposant à ses disciples enfants, il leur dit : « Quiconque reçoit un petit enfant comme celui-ci me reçoit moi-même et reçoit non pas moi, mais Celui qui m’a envoyé… » (c’est-à-dire Dieu).
La plupart des homélistes parlent probablement de « foi enfantine », de « simplicité » et de « non-ambition d’un enfant », ce qui est à la fois bon et compréhensible.
Mais permettez-moi de suggérer un sujet qui mérite désespérément d’être discuté : ce que cet enseignement dit sur l’ouverture à la parentalité (remerciements au Père Paul Scalia pour l’idée).
Notez le verbe « recevoir ». « Recevoir » signifie accueillir quelque chose ou quelqu’un qui existe déjà, c’est-à-dire qui a le droit d’exister. « Recevoir » signifie accueillir quelque chose ou quelqu’un qui ne m’appartient pas actuellement, c’est-à-dire un cadeau. « Recevoir » est un signe de gratitude pour le cadeau reçu et la confiance manifestée.
Un enfant est un don. Parmi les personnes pieuses ou anachroniques, on entend même parfois dire qu’un enfant est un « don de Dieu ». Les gens honnêtes doivent cependant se demander si les attitudes dominantes de notre culture Je crois vraiment à ça.
Si nous lisons l’Évangile plutôt que de nous concentrer sur des images larmoyantes, nous pourrions aussi découvrir que Jésus augmente les enjeux. Recevoir un enfant équivaut à recevoir Jésus. Non content de s’en tenir à cela, Jésus augmente les enjeux : il ne s’agit pas seulement de recevoir Jésus, mais de recevoir « Celui qui m’a envoyé… »
Bien sûr, l’argument inverse est implicite ici : pas Recevoir – rejeter un enfant – c’est rejeter Jésus. Non seulement c’est rejeter Jésus, mais c’est rejeter Celui qui a envoyé Jésus et nous a dit : « Celui-ci est mon Fils bien-aimé, écoutez-le !
Pourtant, nous vivons dans une culture qui répète environ un million de fois par an que nous avons besoin pas Nous vivons dans une culture qui dit qu’un enfant n’est pas un « cadeau » mais un « choix ». Et même lorsque nous prétendons qu’un enfant est un « cadeau » (par exemple, avec les technologies de reproduction artificielle), il y a quelque chose d’ingrat dans la discussion, car nous nous réservons le droit de retourner ou d’échanger le cadeau s’il ne répond pas à nos attentes. En effet, il existe des preuves suggérant que le fait de se détourner de la maternité après la naissance d’un enfant peut être une mauvaise chose. Dobbs Cette décision est précisément due au fait que les femmes contemporaines en âge de procréer veulent la garantie de retour dans les neuf mois sans poser de questions. Roe c. Wade.
Eh bien, dites-vous, notre culture est pluraliste, et vous ne pouvez donc pas vous attendre à ce que la grande majorité des Américains soit guidée par votre argumentation théologique.
Bien que la diversité religieuse aux États-Unis soit plus grande que jamais, environ 63 % (soit près des deux tiers) des Américains se disent encore chrétiens. Le fait que leurs confessions puissent falsifier (ou même ignorer ouvertement) l’enseignement de Jésus montre que la distinction de l’Ancien Testament entre les vrais et les faux prophètes reste bien vivante aujourd’hui.
Du point de vue de l’éthique sexuelle catholique, un enfant est toujours un don, jamais un « droit », un « choix » ou une « attente ». Cette perspective est ancrée dans le fait que chaque enfant est toujours le premier Dieu création, pas ses parents.
Comment cela ? Pour deux raisons. D’abord, chaque personne appartient toujours à Dieu, mais jamais à une autre personne humaine. Dieu est notre Créateur et a donc un droit sur nous. Nous sommes tous frères et sœurs. Ensuite, aucune mère ni aucun père ne peut créer une âme. Leurs rapports sexuels apportent la matière physique nécessaire au développement physique, mais vie humaine est plus qu’un simple processus physique. Pour que la vie humaine puisse commencer et se développer, il faut une âme.et seul Dieu peut créer une âme. Ainsi, avant même que les parents puissent se remercier mutuellement pour le don de la vie, ils doivent d’abord remercier Dieu. C’est-à-dire qu’ils doivent d’abord « recevoir l’enfant » qui leur est donné.
Et c’est précisément cette réceptivité qui ne va pas dans notre société.
Considérez le brouhaha suscité par les commentaires de JD Vance sur l’absence d’enfants. Oui, sa formulation a peut-être un côté polémique, mais c’est le cœur de son argument – que notre culture fuit la parentalité – qui est le véritable problème. Et c’est précisément ce qui se passe. que L’affirmation selon laquelle avoir des enfants est et devrait être considéré comme normal et souhaitable est ce que ses adversaires appellent « bizarre ».
Pensez-y : penser qu’avoir des bébés est naturel et normal est désormais « bizarre » !
Ce qui est vraiment « bizarre », c’est la culture qui pense de cette façon, parce qu’elle a perdu la perception de l’enfant comme un don. Il ne faut pas non plus perdre de vue que cette perte découle aussi d’une perte de la foi, qui ne considère plus « l’accueil d’un enfant » comme un don de Dieu à accueillir avec amour.
Karol Wojtyła parlait de la parentalité comme d’une communion de personnes (communication personnelle). Dans l’étreinte conjugale par laquelle les enfants entrent dans le monde, la Trinité est en effet imagée deux fois. Elle est d’abord imagée dans le « trio » nécessaire pour donner la vie, car chaque L’enfant vient de trois personnes : la mère et le père qui apportent les gamètes pour le développement physique et Dieu qui crée l’âme qui fait passer ces deux gamètes dans la nuit dans un nouvel être humain.
La Trinité est alors représentée une seconde fois dans la communauté humaine que crée désormais l’enfant animé : une mère et un père avec un enfant à travers lesquels « procède » l’amour de la mère et du père.
Alors oui, si vous recevez ces deux miracles chez votre enfant, vous recevez Jésus et, en définitive, Dieu qui, après tout, s’est défini comme « Amour » (1 Jn 4, 8). Et non, si vous ne recevez pas ces deux miracles, ce n’est pas simplement un « choix » indifférent et autonome. En rejetant l’enfant, vous rejetez le Christ et, en définitive, Celui qui a envoyé Jésus.
Les enjeux liés à la question de savoir si nous considérons un enfant comme un cadeau à recevoir ou comme un produit à fabriquer ne peuvent pas être plus élevés.
Je conclurai par une observation faite par la théologienne française Laetitia Calmeyn.
Après la chute, la Genèse parle d’Adam et Ève donnant naissance à Caïn et Abel. Ce qui est révélateur, et souvent négligé comme le note Calmeyn, c’est la manière dont il est question de cette procréation. Lorsqu’Ève donne naissance à Caïn, elle dit : « J’ai enfanté un fils avec l’aide du Seigneur » (Genèse 4:1).
D’une certaine manière, c’est vrai. Certains pourraient même penser que cela correspond à la vision de la réceptivité à la parentalité esquissée ci-dessus. Mais Calmeyn (et moi-même) ne sommes pas d’accord.
Notez où se trouve le centre de gravité : «J’ai « J’ai produit un enfant avec l’aide du Seigneur. » « Je. » Dieu « a aidé. » Dieu – sans qui aucun enfant, aucun être humain n’a la vie – est réduit à un acteur de soutien.
Après que Caïn a tué Abel et est parti en exil, Adam et Ève ont un autre enfant, Seth. Écoutez maintenant comment Ève parle de Seth : « Dieu m’a accordé une autre descendance à la place d’Abel » (Genèse 4:25). Le « je » a disparu. Selon les mots du professeur Henry Higgins, « par George, elle l’a ! » Le sujet de la phrase est « Dieu » qui a « accordé », c’est-à-dire offert, qu’Ève soit avec un enfant qu’elle reçoit maintenant.
L’éthique sexuelle catholique et la parentalité n’ont jamais été uniquement une question de « méthodes » – « naturelles » ou « artificielles » ou « faire ce qui vient naturellement » ou « moyens artificiels » de reproduction. L’éthique sexuelle catholique concerne également les attitudes justes, y compris les attitudes de piété (et d’humilité concomitante) qui reconnaissent qui est Dieu, qui nous sommes et comment ces trois éléments sont correctement liés. Il s’agit de reconnaître que, selon les mots de Marie également liés à sa parentalité, « je suis la servante du Seigneur ».
Marie a reçu son Enfant comme un don. Qu’elle, la nouvelle Ève, soit notre modèle de l’attitude catholique envers la paternité, envers « l’accueil d’un enfant ». Car c’est ainsi qu’elle a reçu son Dieu… et c’est ainsi que nous le faisons ou non.
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Élever nos proches prières pour nos familles au Seigneur de bon matin.
Cette finale section de la prière du matin consiste à prier pour nos familles, l’ensemble de notre famille, nos collègues et notre propre communauté. Nous pouvons prier pour leur bien-être, leur prospérité, leur sécurité, et leur fortune. Nous pouvons également prier pour nos adversaires et pour ceux qui nous ont blessés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur exprimer la compassion.
Implorer pour la condition physique et la protection de nos proches.
Ô Seigneur, nous autres te confions nos proches, nos propres familles ainsi que nos amis. Veille, Ô Dieu, au-dessus de eux, avec protège -les de tout risque et de toute maladie. Offre, Ô Seigneur, la vigueur du corps et de l’esprit à eux, et la paix au sein de leur cœur. Que ta bénédiction forte les âmes veille avec les individus conduise chacun au long de cette journée, pour qu’il puissent jouissent dans la tranquillité et la quiétude.
Nous autres te prions aussi pour notre enfants, Seigneur, pour qu’ils grandissent dans la foi ainsi que dans l’amour de ton saint nom. Offre, cher Dieu, une sagesse et le courage nécessaires en vue de affronter les défis de la vie, ainsi que guide leurs pas sur le chemin de la vérité et aussi de la justice.
Enfin, nous autres te prions pour nos amis et aussi nos voisins, Seigneur, qu’ils expérimentent la joie de ton amour avec la sérénité de ton pardon. Donne-leur, Ô Dieu, des cœurs bienveillants en vue de partager avec ceux qui sont dans le besoin, et des largement ouvertes en vue de accueillir ceux qui sont seuls ainsi que abandonnés.
Prier pour les nôtres ennemis et ceux qui sont nous ont offensés.
Seigneur, Jésus, nous vous prions pour nos ennemis et pour ceux-ci qui nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Jésus, votre miséricorde ainsi que votre pardon, et aussi ouvre leur cœur à la lumière des ta vérité. Aide-nous, Ô Seigneur, à leur montrer de la compassion ainsi que à leur pardonner comme tu nous autres as pardonné. Que votre paix règne dans notre cœurs et aussi que votre amour guide les nôtres actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux que nous autres entourent.
Saisir la prière :
Pour terminer, la oraison nous souviens notre mission tel que enfants de Dieu : se trouver des observateurs de sa lumière et de son affection dans l’ ère en proie aux ténèbres. À travers notre mots et nos actions, nous diffusons le message de la sérénité et de la conciliation, offrant l’espérance et la guérison à un contexte brisé.
À l’intérieur de la spiritualité chrétienne, l’ lever du jour porte une valeur particulière, illustrant l’ renouveau et la régénération spirituelle. C’est au lever du jour de chaque matinée que le cœur se dirige vers Dieu dans la prière, cherchant à devenir éclairée par la lumière divine. La coutume des prières matinales se révèle profondément enracinée dans la tradition chrétienne, offrant une période privilégié pour établir une connexion avec Dieu et se préparer intérieurement aux défis de la journée qui s’annonce.
En au cœur au sein de ces oraisons matinales s’ trouve habituellement une dévotion particulière pour Marie, la mère de Jésus et figure sainte vénérée auprès de de nombreux fidèles. En qualité d’ intercesseur au milieu de les hommes et Dieu, Marie reste sollicitée afin de intercéder pour nous, nous-mêmes guidant sur le chemin vers la sainteté et de la grâce divine. Sa présence maternelle fournit apaisement ainsi que protection, enveloppant nos prière matinales avec une douceur céleste.
Au travers l’ oraisons du matin, nous sommes invités à nous unir à Marie dans une initiative pour sanctification personnelle. Dans méditant sur sa vie et ses vertus, on explorons à imiter son humilité, sa pureté ainsi que son obéissance à l’ volonté de Dieu. Par le biais de sa sainteté parfaite, Marie se transforme en pour nous une modèle pour vie chrétienne, nous remémorant l’importance du prière et de la contemplation dans nos cheminement spirituel.
Prions ensemble un prière de debut de journée, dans notre foi, en Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde troublé par la guerre et la discorde, recourons à la prière pour trouver pour retrouver la paix et la réconciliation. Il est possible faire déposer une sollicitation pour Marie en faisant appel aux bénévoles. Que nos prières montent vers le ciel, comme une offrande reçu avec faveur à Dieu, pour qu’il puisse éclairer nos chemins vers le chemin de la vérité et de la justice. L’apôtre Paul nous exhorte dans ses lettres à prier sans cesse, quelle que soit la situation, pour que notre communion avec Dieu soit solide et ardente. La prière, quand elle est sincèrement offerte, possède la capacité de changer nos cœurs et d’influer le cours de l’histoire.
La oraison du matin est ainsi un moment favorisé afin de se consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en lui présentant nos adorations, nos actions de grâce et nos intentions les plus intimes. Dans la quiétude de l’aurore, on se trouve invités à tourner à cette mère sainte, laquelle on guide par tendresse sur le chemin du la croyance ainsi que du sentiment amoureux divin. À travers faisant l’union nos voix pour celle de Marie, nous haussant notre prières matinales vers le trône de du don divin, assurés que notre supplications seront entendues ainsi que accueillies auprès de du cœur miséricordieux de Dieu.
Prière envers le matin avec dieu et Marie la Vierge
Dieu tout-puissant et plein de miséricorde, en ce matin qui s’annonce sous la clarté de ta lumière céleste, je viens à toi avec cœur rempli de confiance et d’humilité. Que cette jour qui commence soit consacrée à ta sainteté, que chaque pulsation de mon être |chaque regard de mes yeux|chacune de mes paroles|chacun de mes gestes} te soit offert en sacrifice. Que chaque respiration qui anime mon être soit un souffle d’adoration |un souffle vers toi|un souffle de vie en toi}. Priez, que nos prières montent, suppliez, priez, que nos esprits s’élèvent.
À l’instar de Marie, la mère bienheureuse qui a porté en son sein l’enfant Jésus, conduis-moi dans ce parcours de foi et de dévotion. Que je puisse, en parcourant les pages de l’Évangile, trouver la clarté pour éclairer mes pas et fortifier ma foi. À l’instar de Pierre, donne-moi la vigueur et le courage d’affronter les épreuves de ce monde avec une confiance absolue en ta providence.
Dans ce période de Carême, où les fidèles et les chrétiennes se préparent à commémorer la résurrection de notre Seigneur bien-aimé, donne-moi, Seigneur, la bénédiction de la renaissance spirituelle. Que mon âme soit purifié de toute souillure, afin qu’il devienne un temple digne de ta présence. Que mes prières, à l’image de François d’Assise, résonne comme un hymne de louange à travers les siècles.
Dieu Tout-Puissant, que mon quotidien soit imprégné de ta grâce, que chaque instant soit une occasion de te rencontrer et de te servir dans mes frères et sœurs. Que mon existence soit un témoignage vivant de ta tendresse infinie pour l’humanité. Puissent les supplications de Hozana monter vers toi comme un doux parfum, enveloppant chaque instant de ma journée dans une ambiance de paix. Priez, Église, François, Hozana.
Que mon cœur, Ô Seigneur, devienne une réplique du tien, rempli d’amour, de compassion et de miséricorde envers autrui. Que chaque pensée, chaque action soit guidée par ton Esprit saint, afin que je puisse contribuer à l’avènement de ta justice sur ce monde.
Que cette journée devienne une nouvelle étape dans mon cheminement spirituel, un moment de grandir dans la foi. Seigneur, envahis mon cœur, transforme-le en ton sanctuaire, où ta présence se manifeste en tout temps. Que chaque battement de mon cœur devienne un chant en ton honneur, Seigneur, pour les siècles des siècles. Amen.
Au sein de le réveil spirituel spiritualiste de toute âme chrétienne, l’oraison est essentielle. C’est le lien intime entre le fidèle de Dieu et sa mère céleste, la Sainte Mère, la sainte supplie pour le compte de nous devant son céleste Fils. À travers la supplication, nous nous introduisons au sein de la brillance de la parole de Dieu, dirigés avec l’Esprit Saint, afin de trouver la vraie nature et la grâce que Jésus nous offre.
Contemplation en ce qui concerne la sainte Parole du Seigneur :
Il nous est possible de sommes capables de ruminer sur un passage biblique qui nous évoque de l’affection divin. À titre illustratif :
1 Corinthiens 13, 1-8 :
« Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien.. »
Parutions:
Victoire la rouge/5.,A lire ici.
Livre de prières, 1852/Prières diverses (vie).,A lire ici.. Suite sur le prochain article.
Les Bijoux fatals/Chapitre IX.,L’article ICI.
Le Folklore wallon (Monseur)/09.,L’article ICI.
Grand dictionnaire universel du XIXe siècle/Marie-aux-Bois (ABBAYE DE Sainte-).,Ici.
À bas la calotte/Pourquoi Saint Joseph se laissa manger la tête par un rat.,Ici.. Suite sur le prochain article.
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