Les catholiques associent depuis longtemps le terme latin dolor, qui signifie « tristesse » ou « douleur », aux souffrances de Marie, la Mère de Dieu. Elle est souvent représentée avec sept épées, représentant sept souffrances, transperçant son cœur sans péché. Que sont exactement ces sept souffrances et quelles sont les origines de cette dévotion mariale particulière ?
Les premiers chrétiens, en racontant la passion et la mort de Jésus, se souvenaient de la douleur atroce que la Sainte Vierge avait éprouvée alors qu’elle se tenait près de la croix, en voyant la crucifixion de son divin Fils. La dévotion à la Mère des Douleurs a gagné en popularité au cours du Moyen Âge et, dans certains endroits, la méditation sur elle a été étendue au-delà de la scène de la croix pour englober d’autres événements depuis le moment où Jésus a été arrêté jusqu’à sa mise au tombeau.
Ce n’est qu’en 1727 qu’une fête spéciale fut ajoutée au calendrier liturgique universel de l’Église pour commémorer la douleur de Marie lors de la crucifixion et de la mort du Christ. Cette année-là, le pape Benoît XIII ajouta une fête universelle, connue sous le nom de fête des Douleurs de Marie, qui devait être célébrée le vendredi précédant le dimanche de la Passion. La liturgie de ce jour-là, les prières, les lectures et le magnifique hymne Stabat Mater (littéralement, « La Mère était debout ») se concentrent tous sur la Sainte Vierge alors qu’elle se tenait le cœur brisé sur la colline du Calvaire. Cette fête est restée au calendrier de l’Église jusqu’en 1969.
La fête des Servites
Une institution qui a longtemps promu la dévotion à la mère douloureuse de Jésus était l’ordre religieux des Servites, fondé en Italie en 1234. Cinq ans après leur fondation, ils ont adopté la douleur de Marie sur la croix comme leur principale dévotion.
Une deuxième fête, le troisième dimanche de septembre, spécifiquement dédiée aux Sept Douleurs de la Bienheureuse Vierge Marie, fut officiellement accordée aux Servites par Rome en 1668. Cette dévotion se répandit et pendant quelques années, il y eut une controverse quant aux sept douleurs qui seraient incluses dans la liste. Il est généralement admis que la liste que nous connaissons aujourd’hui est issue des Servites.
La fête des Servites fut étendue à l’Église universelle en 1817 et célébrée chaque année le lendemain de la fête de l’Exaltation de la Croix, qui a lieu le 14 septembre. Par conséquent, pendant 150 ans, le calendrier liturgique comprenait deux fêtes similaires en l’honneur de la Mère des Douleurs : l’une le vendredi précédant le dimanche de la Passion, et l’autre en septembre.
Aujourd’hui, en raison des réformes du calendrier du Concile Vatican II, il n’existe plus qu’une seule fête liturgique commémorant la souffrance et la douleur de Marie. Cette fête est une commémoration obligatoire qui a lieu le 15 septembre et est connue sous le nom de Mémoire de Notre-Dame des Douleurs. Bien que les Sept Douleurs ne soient pas explicitement mentionnées pendant la liturgie de cette commémoration, de nombreux catholiques les rappellent fidèlement ce jour-là dans des rosaires, des prières, des neuvaines et d’autres dévotions.
Les Sept Douleurs
Les Sept Douleurs identifient sept événements ou périodes de la vie de la Sainte Mère où sa souffrance, provoquée par des événements de la vie de son Fils, était la plus intense. Les érudits bibliques ont souligné que même si certains des événements douloureux contenus dans la dévotion ne sont pas spécifiés dans les Écritures, ils se sont probablement produits. En voici les sept :
Prophétie de Siméon lors de la présentation de Jésus (cf. Lc 2, 35). Comme tous les premiers-nés juifs de sexe masculin, l’enfant Jésus fut amené au Temple de Jérusalem pour être présenté à Dieu. Selon l’Évangile de Luc, il y avait, dans le Temple, un vieillard pieux nommé Siméon qui reconnut avec joie en Jésus le Messie tant attendu.
Mais le bonheur de cet instant devint sombre lorsque Siméon prophétisa que la vie de l’Enfant serait faite de « contradictions ». Cette annonce prophétique allait se réaliser, car les personnes mêmes que Jésus était venu sauver du péché allaient le rejeter, l’insulter et finalement le tuer.
Siméon indiqua ensuite que Marie souffrirait elle aussi, que partager sa vie de rejet serait comme une épée transperçant son âme. De telles prophéties de mauvais augure devaient certainement troubler la jeune mère.
La fuite de la Sainte Famille en Égypte (cf. Mt 2, 13). La prophétie de Siméon se réalisa bientôt. L’Évangile de Matthieu nous raconte que lorsque les mages annoncèrent la naissance de Jésus, le roi Hérode de Judée craignit que cet Enfant, proclamé roi des Juifs, ne devienne une menace pour son trône. Hérode ordonna donc le massacre de tous les garçons de 2 ans et moins, à Bethléem et dans ses environs.
Dans un rêve, un ange avertit Joseph d’emmener Marie et Jésus en Égypte. Malgré la perspective d’un si long voyage, Joseph partit sans hésiter et la Sainte Famille resta en Égypte jusqu’à la mort d’Hérode. Le fait que le Fils de Dieu ait commencé sa vie en fuyant sa patrie était une autre indication pour Marie du chemin difficile que Jésus était destiné à parcourir.
L’enfant Jésus est perdu pendant trois jours (cf. Lc 2, 41-46). Alors que Jésus a 12 ans, rapporte saint Luc, il part avec ses parents de Nazareth pour Jérusalem pour célébrer la Pâque. Les hommes voyagent ensemble dans un groupe, les femmes dans un autre ; les enfants peuvent voyager avec l’un ou l’autre groupe.
Sur le chemin du retour, Marie et Joseph découvrent que Jésus n’est pas avec les hommes ou les femmes. Très affligés, ils retournent en toute hâte à Jérusalem et, après trois jours de recherches désespérées, ils le trouvent sain et sauf dans le Temple, en train de discuter avec des docteurs de la loi juive. Il n’est pas perdu et il demande à haute voix à Marie et à Joseph, soulagés mais confus : « Comment se fait-il que vous me cherchiez ? »
Lors de cet événement, Notre-Dame s’est douloureusement rappelée que Jésus appartenait d’abord et avant tout à Dieu.
La rencontre de Jésus sur son chemin vers le Calvaire (voir Lc 23, 27-31). La tradition veut que Marie soit parmi les femmes qui, selon les Écritures, ont déploré la marche douloureuse du Christ avec la croix sur le chemin du Calvaire. La douleur de Marie a dû être extrême lorsqu’elle a vu Jésus, injustement accusé, trébucher, tomber avec la croix sur la route qui le conduisait à l’endroit où il allait mourir.
Elle avait probablement fait partie de la foule présente lorsque Pilate l’avait livré pour être crucifié, mais elle ne pouvait que regarder avec une douleur angoissante. Maintenant, se retrouvant face à face avec lui, Marie vit l’état sanglant, enflé et pitoyable de son Fils. Son impuissance, sa désolation et son abandon pénétrèrent son cœur.
Au pied de la croix (cf. Lc 23 ; Jn 19). Les Romains utilisaient la crucifixion publique comme forme d’exécution pour les criminels non romains. Les Évangiles nous racontent que Marie se tenait avec quelques disciples de Jésus pour regarder sa crucifixion. Elle a sans doute pleuré en le voyant cruellement cloué sur une croix, en voyant les soldats jouer au hasard pour ses vêtements et en assistant à sa mort lente et torturée.
C’est une horreur pour tout parent de voir son enfant mourir – et personne n’a jamais enduré une agonie plus grande que Marie. Elle était la seule personne qui comprenait vraiment qui Il était et, dans son cœur, elle est morte avec Lui.
Jésus est descendu de la croix (cf. Lc 23 ; Jn 19). Selon l’Écriture, Joseph d’Arimathée aurait descendu le corps de Jésus de la croix ; selon la tradition populaire, Joseph l’aurait déposé sur les genoux de sa mère en deuil.
Marie vit les ecchymoses et les blessures causées par toutes les tortures physiques que Jésus avait subies, y compris la grande plaie ouverte causée par la lance du soldat romain. Celle qui lui avait donné son Corps et son Sang berçait dans ses bras son Fils sans vie, le Fils de Dieu.
Jésus est déposé au tombeau (cf. Mc 15 ; Lc 23 ; Jn 19). Marie, brisée et accablée de chagrin, a sans doute regardé Joseph d’Arimathée et Nicodème préparer le corps de Jésus pour l’enterrement. Ils ont agi sans délai, car la loi mosaïque exigeait l’enterrement avant la tombée de la nuit.
Nous ne pouvons qu’essayer de comprendre l’immensité de la souffrance de Notre-Dame lorsque le tombeau fut scellé, alors qu’elle pensait à toute l’angoisse et à la douleur qu’Il avait endurées.
A ces sept occasions, et sans doute à bien d’autres encore, notre Sainte Mère partagea les souffrances de son Fils. L’épée, comme l’avait prédit Siméon, transperça effectivement son âme.
Lorsque nous méditons ces événements, nous apprenons à unir nos propres souffrances à celles de Jésus et de Marie, afin que nous-mêmes puissions grandir en sainteté.
DD Emmons écrit depuis O’Fallon, Illinois.
Une période de prière individuelle pour nous ouvrir envers Dieu.
Cher Père des cieux, je viens en face de toi pour te remercier pour cette nouvelle journée. Je te glorifie en raison de ta bonté ainsi que ta loyauté envers moi. Je te supplie de me remplir par ta sainteté et de me donner la grâce d’éprouver ta près de moi tout au long de cette journée. Je te remets toutes mes soucis, mes joies, mes chagrins, mes désirs et mes espoirs. Que ton Esprit Saint illumine mon esprit et fortifie ma foi, afin que je puisse avancer dans ton chemin et effectuer ta volonté. Accorde-moi la grâce de mener selon la compassion qui tu nous as illustré le modèle à travers ton Fils bien-aimé, Jésus-Christ.
Note de compréhension :
L’acte de prière nous plonge au cœur de la famille sacrée, là où Dieu notre Père nous accueille tel ses progénitures bien-aimés. À travers ce lien familial, nous découvrons la force ainsi que la consolation pour surmonter les difficultés de ce. La prière nous renvoie à les enseignements de Pierre, qui exhorte les chrétiennes et les chrétiens à demeurer fermes dans leur foi, même en dans le tumulte des tourments de la vie.
Renforcer notre lien à Jésus dès le matin
Nous sommes capables de ruminer sur l’un des évangiles afin de nous connecter avec Jésus. Par exemple :
Jean 15, 9-17 :
» Ce n’est pas vous qui m’avez choisi; mais c’est moi qui vous ai choisis, et qui vous ai établis, afin que vous alliez, et que vous portiez du fruit, et que votre fruit demeure, afin que ce que vous demanderez au Père en mon nom, il vous le donne. Ce que je vous commande, c’est de vous aimer les uns les autres. »
Demander indulgence à Dieu en raison de nos péchés
Dieu Jésus, j’arrive te supplier de pardonner mes propres péchés. Je suis que je ne suis pas irréprochable et que j’ai besoin de ta sainte miséricorde. Je te demande de me délivrer de tout ce qui me éloigne de toi et de me donner la grâce pour vivre en conformité avec ta volonté. Que ta bénédiction céleste illumine les coins les plus sombres de mon cœur, purifiant mon être et me conduisant sur la voie de la sainteté. Amen.
Discussion en le Seigneur comme en compagnie de un ami.
Nous sommes capables de discuter avec Dieu comme envers un ami intime, l’Éternel confier nos joies et nos peines, lui demander de l’aide dans nos défis quotidiens. Par exemple : Seigneur, grâce à cause de cette nouvelle journée. Je m’approche te prier de me soutenir à être tolérant à l’égard de mes enfants et de me octroyer la force de surmonter aux défis de la journée. Je te recommande mes projets et mes soucis, et je te demande de me indiquer de quelle manière je suis en mesure de te rendre service et t’honorer aujourd’hui. Accorde-moi, ô Seigneur, ta sagesse afin de prendre les bonnes décisions et ta grâce pour traverser les épreuves avec foi. Amen.
Un moment de calme pour percevoir Dieu.
Après une prière et cette méditation, il est essentiel de prendre un moment de silence pour écouter cette voix de Dieu dans nos propres cœurs. Dans ce silence, nous ressentir sa présence calme et recevoir ses inspirations en vue de la journée qui se.
Se orienter vers le Christ afin de découvrir la paix intérieure.
Nous sommes capables de prier Jésus de nous donner sa paix et de nous soutenir pour écouter sa parole. Par exemple :
Seigneur Jésus, j’arrive te prier de remplir mon propre cœur par ta tendresse. Je te demande de me dégager de toutes pensées et les inquiétudes m’ennuient. Aide-moi pour écouter ta parole et à la mettre en pratique dans ma vie. Que ton Esprit Saint, ô Christ, soit ma force durant de cette journée. Amen.
Achever cette prière matinale en dédiant notre journée pour Dieu.
Nous pouvonsoffrir la journée à Dieu et même lui demander pour la remplir de sa présence et aussi de sa bénédiction. Par exemple :
Seigneur, je te confie cette journée entre ta mains. Que toutes de mes pas soit dirigé par ta divine sagesse, que chacun de mes paroles soit inspirée par votre amour. Que toutes mes actions soient accomplies selon ta volonté, pour ta divine gloire et le bien. Que ton lumière éclaire ma route et que tu habites mon cœur. Amen.
Invocation de demande matinale.
La prière du matin consiste à implorer pour les besoins des chrétiennes et de tous les chrétiens. Nous avons la possibilité de prier pour les personnes dans le besoin, pour les malades, pour les personnes qui se trouvent souffrent, pour les personnes qui confrontées à des difficultés, pour les personnes découragées et pour les personnes qui sont dans l’erreur.
Prier en vue de tous individus dans le besoin.
Seigneur, dans ta grande miséricorde, tu te supplions afin de chacune des personnes qui traversent d’innombrables difficultés financières. Que vous leur accordes la force et aussi la persévérance afin de affronter ces épreuves, et également que tu leur apportes les ressources nécessaires en vue de subvenir à leurs besoins. Accorde-leur, Grand, votre providence pour éclairer leur pas dans l’ombre de leurs soucis financiers.
Nous autres te demandons également pour toutes personnes qui luttent face à d’innombrables problèmes de santé. Que sa main puissante se pose sur elles, Seigneur, pour les guérir et aussi les réconforter dans leur douleur. Accorde-leur, Grand, la force et aussi le courage afin de faire face à leurs défis de santé en ayant confiance en sa divine providence.
Nous autres te implorons encore en vue de chaque personnes qui sont confrontées vis-à-vis de des difficultés dans leur vie, quelle que soit ce soit-ce sur le domaine professionnel, relationnel ou émotionnel. Que sa grâce, Seigneur, reste leur soutien et aussi leur réconfort dans ces moments d’épreuve. Accorde-leur, Grand, ton Esprit Saint en vue de guider leur chemin et les guider vers la sérénité.
Enfin, nous vous prions en vue de l’ensemble des personnes qui sont sans-abri, qui sont marginalisées et exclues de la société. Que sa miséricorde, Seigneur, se répande sur elles comme une douce rosée, leur apportant réconfort ainsi que espoir dans leur détresse. Accorde-leur, Grand, des mains généreuses afin de les aider ainsi que des cœurs compatissants pour les accueillir dans leur communauté.
développement sur la prière du matin.
Dans la prière, nous élevons nos esprits envers le Ciel, suppliant la lumière de Dieu pour illuminer nos chemins sombres. Marie, notre mère, nous soutient dans ce cheminement, nous enseignant à méditer sur les mystères de la vie de son divin enfant. Elle nous mène vers Jésus, le rayon du monde, qui lumine nos ténèbres et nous guide vers la vérité.
La oraison nous relie aussi à notre communauté religieuse, la famille des croyants, où nous échangeons nos contentements et nos douleurs, nos espérances et nos inquiétudes. Collectivement, nous formons le corps du Christ, désignés à démontrer de son affection. Par nos prières, nous intercédons pour les besoins des chrétiennes et des croyants, offrant notre charité et notre miséricorde à ceux qui éprouvent.
Joignons nos cœurs dans la prière de debut de journée, dans notre espérance, en nous tournant vers Marie, la mère de notre Seigneur Jésus-Christ. Dans notre monde troublé par la guerre et la discorde, recourons à la prière comme un moyen pour retrouver la sérénité et l’harmonie. Les catholiques du monde entier peuvent exprimer une prière pour la mère de dieu en sollicitant les bénévoles. Que nos prières s’élèvent vers le ciel, comme un hommage agréable par Dieu, afin qu’il guide nous guider nos chemins vers le chemin de la justice et de la vérité. Saint Paul nous dans ses épîtres à prier sans cesse, quelle que soit la situation, pour que notre communion à Dieu reste constante et passionnée. La prière, quand elle est sincèrement offerte, a la capacité de changer nos cœurs et d’influer le destin de l’histoire.
Élever nos propres et les prières pour notre entourage au Seigneur matinale.
L’ultime dernière partie de la prière du matin consiste à prier pour nos familles amis, l’ensemble de notre famille, nos amis et nos communauté. Nous pouvons prier pour leur bien-être, leur bonheur, leur sécurité, et leur prospérité. Nous pouvons également prier pour ceux qui nous ont nui et pour celles qui nous ont blessés, et demander à Dieu de nous aider à leur propre pardonner et à leur exprimer la compassion.
Prier pour la santé et la sûreté de nos êtres chers.
Dieu tout-puissant, nous tous te confions nos proches, nos propres familles et nos compagnons. Garde, Ô Dieu, sur eux, et protège -les de tout péril et de toute maladie. Donne, Dieu miséricordieux, une santé du corps avec de l’esprit à eux, et aussi la paix au sein de leur cœur. Que ta guidance forte les âmes protège avec les personnes dirige chacun au long de cette journée, pour qu’il puissent vivent dans la protection et la quiétude.
Nous autres à toi prions également pour notre enfants, Seigneur tout-puissant, qu’ils grandissent dans la foi avec dans l’amour de ton béni nom. Donne, Ô Dieu, une sagesse avec le courage nécessaires pour surmonter les défis de la vie, et conduise leurs pas le long de le chemin de la vérité et de la justice.
Enfin, nous te prions à nos amis ainsi que nos voisins, Seigneur, qu’ils connaissent la joie de ton amour avec la tranquillité de ton pardon. Offre-leur, ô Dieu, de cœurs pleins de générosité afin de partager avec ceux que dans le besoin, et aussi bras ouvertes en vue de accueillir ceux qui seuls et abandonnés.
Prier pour notre ennemis et ceux qui sont nous-mêmes ont offensés.
Seigneur, Jésus, nous vous prions pour les nôtres ennemis et aussi pour ceux qui sont nous-mêmes ont offensés. Accorde-leur, ô Jésus, votre miséricorde ainsi que ton pardon, et aussi ouvre leur cœur à la lumière des ta vérité. Aide-nous, Ô Seigneur, à leur montrer de la compassion et à leur pardonner comme tu nous autres as pardonné. Que ta paix règne dans nos cœurs et que ton amour guide notre actions, pour que nous puissions vivre en harmonie avec tous ceux que nous-mêmes entourent.
Comprendre la prière :
Pour terminer, la invocation nous reconnaît notre devoir en tant que enfant de l’Éternel : exister des témoins de sa clarté et de son affection dans une époque affectée aux obscurités. À travers nos discours et notre actes, nous propageons l’Évangile de la tranquillité et de la réconciliation, apportant l’espérance et la cicatrisation à un environnement endommagé.
À l’intérieur de l’ spiritualité chrétienne, le matin adopte l’ valeur distincte, symbolisant le renouvellement et l’ renaissance intérieure. C’est à l’aube de chaque jour que l’esprit se tourne vers l’Éternel dans la prière, recherchant à devenir éclairée par la lumière céleste. La coutume des prières matinales s’avère profondément enracinée dans la tradition chrétienne, proposant un instant particulier pour établir une connexion avec l’Éternel et se préparer spirituellement aux défis de la journée qui vient.
En au cœur au sein de ces prière matinales se repère souvent une dévotion distincte envers Marie, la maternelle de Jésus et figure sainte vénérée par un grand nombre fidèles. En qualité de intermédiaire parmi les hommes et Dieu, Marie est invoquée pour intervenir en notre faveur, nous guidant dans le sentier de la sainteté et de la grâce divine. Son présentation maternelle donne consolation ainsi que protection, cercant nos prières matinales d’une délicatesse céleste.
En via l’ oraisons du matin, on se trouve invités à nous joindre vers Marie dans une initiative de sanctification personnelle. Dans méditant sur sa vie et ses vertus, nous recherchons à imiter son humilité, la pureté et son obéissance à l’ volonté du Dieu. Grâce à la sainteté parfaite, Marie est pour nous un modèle pour vie chrétienne, nous remémorant l’importance du prière ainsi que de la contemplation dans notre cheminement spirituel.
La oraison du matin se trouve être un instant privilégié pour se consacrer à Dieu avec l’intercession de Marie, en lui présentant nos louanges, nos actions de grâce et nos intentions les plus profondes. Au sein de la quiétude du l’aurore, on est invités à tourner à la mère sainte, laquelle nous guide avec affection sur le chemin de la foi et de l’amour divin. À travers unissant nos voix à celle de Marie, nous élevons nos prières matinales vers du trône de du don divin, confiants que notre supplications seront entendues et accueillies par le cœur miséricordieux de Dieu.
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